L'économie mathématique en France. 1870 - 1914
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- Nombre de pages172
- FormatPDF
- ISBN2-402-49833-1
- EAN9782402498333
- Date de parution01/01/1990
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille61 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Econ...
Résumé
Entre 1870 et 1914, un homme tente de bouleverser l'économie politique traditionnelle, en voulant imposer à cette discipline le langage des sciences exactes : celui des modèles mathématiques. Léon Walras est français, mais il ne put jamais enseigner dans son pays ; il s'exile en Suisse, où il fonde l'École de Lausanne.
Aujourd'hui, Léon Walras figure au Panthéon des grands économistes, aux côtés d'Adam Smith, de Karl Marx, et de John Maynard Keynes.
Pourtant, de son vivant, sa tentative de révolution se solda, en France, par une déroute. Ce livre retrace ce combat solitaire, et tente de comprendre les causes de son échec. L'écho de ces controverses passées, résonne encore de nos jours : l'économie mathématique est-elle une arme idéologique ? L'homme a-t-il disparu derrière les équations ? Ce livre s'intéresse aussi aux autres économistes mathématiciens français de l'époque.
On rencontre quelques disciples de Walras, mais surtout des actuaires, des ingénieurs, et des marginaux. Le plus souvent, ils ignorèrent les théories du maître de Lausanne et, cependant, firent preuve d'une étonnante fécondité. Ancien élève de l'École spéciale des travaux publics, André Zylberberg est directeur de recherche au CNRS. Il fait partie du laboratoire Macroéconomie et analyses des déséquilibres de l'Université de Paris I.
Ses recherches concernent la macroéconomie, les théories du marché du travail, et l'histoire de la pensée économique.
Pourtant, de son vivant, sa tentative de révolution se solda, en France, par une déroute. Ce livre retrace ce combat solitaire, et tente de comprendre les causes de son échec. L'écho de ces controverses passées, résonne encore de nos jours : l'économie mathématique est-elle une arme idéologique ? L'homme a-t-il disparu derrière les équations ? Ce livre s'intéresse aussi aux autres économistes mathématiciens français de l'époque.
On rencontre quelques disciples de Walras, mais surtout des actuaires, des ingénieurs, et des marginaux. Le plus souvent, ils ignorèrent les théories du maître de Lausanne et, cependant, firent preuve d'une étonnante fécondité. Ancien élève de l'École spéciale des travaux publics, André Zylberberg est directeur de recherche au CNRS. Il fait partie du laboratoire Macroéconomie et analyses des déséquilibres de l'Université de Paris I.
Ses recherches concernent la macroéconomie, les théories du marché du travail, et l'histoire de la pensée économique.
Entre 1870 et 1914, un homme tente de bouleverser l'économie politique traditionnelle, en voulant imposer à cette discipline le langage des sciences exactes : celui des modèles mathématiques. Léon Walras est français, mais il ne put jamais enseigner dans son pays ; il s'exile en Suisse, où il fonde l'École de Lausanne.
Aujourd'hui, Léon Walras figure au Panthéon des grands économistes, aux côtés d'Adam Smith, de Karl Marx, et de John Maynard Keynes.
Pourtant, de son vivant, sa tentative de révolution se solda, en France, par une déroute. Ce livre retrace ce combat solitaire, et tente de comprendre les causes de son échec. L'écho de ces controverses passées, résonne encore de nos jours : l'économie mathématique est-elle une arme idéologique ? L'homme a-t-il disparu derrière les équations ? Ce livre s'intéresse aussi aux autres économistes mathématiciens français de l'époque.
On rencontre quelques disciples de Walras, mais surtout des actuaires, des ingénieurs, et des marginaux. Le plus souvent, ils ignorèrent les théories du maître de Lausanne et, cependant, firent preuve d'une étonnante fécondité. Ancien élève de l'École spéciale des travaux publics, André Zylberberg est directeur de recherche au CNRS. Il fait partie du laboratoire Macroéconomie et analyses des déséquilibres de l'Université de Paris I.
Ses recherches concernent la macroéconomie, les théories du marché du travail, et l'histoire de la pensée économique.
Pourtant, de son vivant, sa tentative de révolution se solda, en France, par une déroute. Ce livre retrace ce combat solitaire, et tente de comprendre les causes de son échec. L'écho de ces controverses passées, résonne encore de nos jours : l'économie mathématique est-elle une arme idéologique ? L'homme a-t-il disparu derrière les équations ? Ce livre s'intéresse aussi aux autres économistes mathématiciens français de l'époque.
On rencontre quelques disciples de Walras, mais surtout des actuaires, des ingénieurs, et des marginaux. Le plus souvent, ils ignorèrent les théories du maître de Lausanne et, cependant, firent preuve d'une étonnante fécondité. Ancien élève de l'École spéciale des travaux publics, André Zylberberg est directeur de recherche au CNRS. Il fait partie du laboratoire Macroéconomie et analyses des déséquilibres de l'Université de Paris I.
Ses recherches concernent la macroéconomie, les théories du marché du travail, et l'histoire de la pensée économique.