L'ECONOMIE DES DIEUX CEREALIERS, LES LOIS DE L'INSUFFISANCE ALIMENTAIRE
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- Nombre de pages224
- FormatPDF
- ISBN2-296-17446-9
- EAN9782296174467
- Date de parution01/01/1989
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille133 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le tiers monde est trop analysé pour ce qu'il n'est pas encore, peu pour ce qu'il n'est déjà plus. L'autosuffisance alimentaire, devenue le mot d'ordre de la plupart des gouvernements, est-elle le dernier avatar des politiques de développement ? Mais alors que reste-t-il des promesses de l'aube des Indépendances ? En quoi cette priorité se départirait-elle des contraintes millénaires des sociétés traditionnelles ? L'équilibre vivrier, par ses implications, s'avère extrêmement riche pour décripter le fonctionnement d'une économie.
En effet, il ne se réduit pas à une affaire d'estomacs repus ou de balance commerciale ajustée, il constitue le point d'orgue des civilisations anciennes : le coeur de la structuration démographique et sociale, le centre des jeux du pouvoir, l'âme du système des valeurs... Cette interprétation donne d'autres éclairages à la compréhension des économies africaines contemporaines. C'est l'ambition de cet essai.
Ambition limitée, mais combien de discours ne sont que prophéties avortées et recettes erronées ? N'est-ce pas déjà, aux yeux des anciens, un défi sur l'insondable que de vouloir dénouer les fils de l'économie vivrière, domaine autrefois dévolu aux dieux céréaliers, les protecteurs d'un ordre cosmique.
En effet, il ne se réduit pas à une affaire d'estomacs repus ou de balance commerciale ajustée, il constitue le point d'orgue des civilisations anciennes : le coeur de la structuration démographique et sociale, le centre des jeux du pouvoir, l'âme du système des valeurs... Cette interprétation donne d'autres éclairages à la compréhension des économies africaines contemporaines. C'est l'ambition de cet essai.
Ambition limitée, mais combien de discours ne sont que prophéties avortées et recettes erronées ? N'est-ce pas déjà, aux yeux des anciens, un défi sur l'insondable que de vouloir dénouer les fils de l'économie vivrière, domaine autrefois dévolu aux dieux céréaliers, les protecteurs d'un ordre cosmique.
Le tiers monde est trop analysé pour ce qu'il n'est pas encore, peu pour ce qu'il n'est déjà plus. L'autosuffisance alimentaire, devenue le mot d'ordre de la plupart des gouvernements, est-elle le dernier avatar des politiques de développement ? Mais alors que reste-t-il des promesses de l'aube des Indépendances ? En quoi cette priorité se départirait-elle des contraintes millénaires des sociétés traditionnelles ? L'équilibre vivrier, par ses implications, s'avère extrêmement riche pour décripter le fonctionnement d'une économie.
En effet, il ne se réduit pas à une affaire d'estomacs repus ou de balance commerciale ajustée, il constitue le point d'orgue des civilisations anciennes : le coeur de la structuration démographique et sociale, le centre des jeux du pouvoir, l'âme du système des valeurs... Cette interprétation donne d'autres éclairages à la compréhension des économies africaines contemporaines. C'est l'ambition de cet essai.
Ambition limitée, mais combien de discours ne sont que prophéties avortées et recettes erronées ? N'est-ce pas déjà, aux yeux des anciens, un défi sur l'insondable que de vouloir dénouer les fils de l'économie vivrière, domaine autrefois dévolu aux dieux céréaliers, les protecteurs d'un ordre cosmique.
En effet, il ne se réduit pas à une affaire d'estomacs repus ou de balance commerciale ajustée, il constitue le point d'orgue des civilisations anciennes : le coeur de la structuration démographique et sociale, le centre des jeux du pouvoir, l'âme du système des valeurs... Cette interprétation donne d'autres éclairages à la compréhension des économies africaines contemporaines. C'est l'ambition de cet essai.
Ambition limitée, mais combien de discours ne sont que prophéties avortées et recettes erronées ? N'est-ce pas déjà, aux yeux des anciens, un défi sur l'insondable que de vouloir dénouer les fils de l'économie vivrière, domaine autrefois dévolu aux dieux céréaliers, les protecteurs d'un ordre cosmique.