L'écologisme des pauvres. Une étude des conflits environnementaux dans le monde
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- Nombre de pages478
- FormatePub
- ISBN978-2-36383-379-2
- EAN9782363833792
- Date de parution17/05/2023
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurLes Petits Matins
- PréfacierMarc Dufumier
- TraducteurAndré Verkaeren
Résumé
Non, l'écologie n'est pas qu'un mouvement social propre aux sociétés riches post-matérialistes. C'est aussi - et peut-être surtout - l'affaire des plus pauvres, pour qui la surexploitation de la nature est souvent synonyme de perte de revenus, d'habitat, voire de vies humaines. Ainsi, nombreux sont les mouvements sociaux qui naissent de conflits écologiques.
Joan Martínez Alier présente ici plusieurs de ces " conflits écologico-distributifs " passés et actuels, au Japon, au Nigeria, en Espagne, en Thaïlande, au Pérou, en Inde, aux États-Unis ou encore au Brésil.
Il y est question de la lutte pour la préservation de la mangrove et de ses peuples (face à l'élevage intensif de crevettes) ; des batailles contre la construction de grands barrages, des mouvements pour la protection des sols, de l'eau, de la biodiversité, des pêcheries ; des combats contre l'importation de déchets toxiques, etc. L'auteur aborde aussi la dette écologique (et les échanges écologiquement inégaux entre le Nord et le Sud), la responsabilité écologique des entreprises et l'incapacité de la valorisation monétaire à résoudre ou à anticiper certains problèmes.
En effet, comment déterminer un prix " écologiquement correct " intégrant les dégâts environnementaux et sociaux ? Comment même imposer un langage économique quand on parle d'écologie ? Ainsi, là où une multinationale parlera d'argent, une tribu amérindienne invoquera le sacré.
Il y est question de la lutte pour la préservation de la mangrove et de ses peuples (face à l'élevage intensif de crevettes) ; des batailles contre la construction de grands barrages, des mouvements pour la protection des sols, de l'eau, de la biodiversité, des pêcheries ; des combats contre l'importation de déchets toxiques, etc. L'auteur aborde aussi la dette écologique (et les échanges écologiquement inégaux entre le Nord et le Sud), la responsabilité écologique des entreprises et l'incapacité de la valorisation monétaire à résoudre ou à anticiper certains problèmes.
En effet, comment déterminer un prix " écologiquement correct " intégrant les dégâts environnementaux et sociaux ? Comment même imposer un langage économique quand on parle d'écologie ? Ainsi, là où une multinationale parlera d'argent, une tribu amérindienne invoquera le sacré.
Non, l'écologie n'est pas qu'un mouvement social propre aux sociétés riches post-matérialistes. C'est aussi - et peut-être surtout - l'affaire des plus pauvres, pour qui la surexploitation de la nature est souvent synonyme de perte de revenus, d'habitat, voire de vies humaines. Ainsi, nombreux sont les mouvements sociaux qui naissent de conflits écologiques.
Joan Martínez Alier présente ici plusieurs de ces " conflits écologico-distributifs " passés et actuels, au Japon, au Nigeria, en Espagne, en Thaïlande, au Pérou, en Inde, aux États-Unis ou encore au Brésil.
Il y est question de la lutte pour la préservation de la mangrove et de ses peuples (face à l'élevage intensif de crevettes) ; des batailles contre la construction de grands barrages, des mouvements pour la protection des sols, de l'eau, de la biodiversité, des pêcheries ; des combats contre l'importation de déchets toxiques, etc. L'auteur aborde aussi la dette écologique (et les échanges écologiquement inégaux entre le Nord et le Sud), la responsabilité écologique des entreprises et l'incapacité de la valorisation monétaire à résoudre ou à anticiper certains problèmes.
En effet, comment déterminer un prix " écologiquement correct " intégrant les dégâts environnementaux et sociaux ? Comment même imposer un langage économique quand on parle d'écologie ? Ainsi, là où une multinationale parlera d'argent, une tribu amérindienne invoquera le sacré.
Il y est question de la lutte pour la préservation de la mangrove et de ses peuples (face à l'élevage intensif de crevettes) ; des batailles contre la construction de grands barrages, des mouvements pour la protection des sols, de l'eau, de la biodiversité, des pêcheries ; des combats contre l'importation de déchets toxiques, etc. L'auteur aborde aussi la dette écologique (et les échanges écologiquement inégaux entre le Nord et le Sud), la responsabilité écologique des entreprises et l'incapacité de la valorisation monétaire à résoudre ou à anticiper certains problèmes.
En effet, comment déterminer un prix " écologiquement correct " intégrant les dégâts environnementaux et sociaux ? Comment même imposer un langage économique quand on parle d'écologie ? Ainsi, là où une multinationale parlera d'argent, une tribu amérindienne invoquera le sacré.