L'école sans Dieu : moi, Augustin Fontvan, instituteur de la République
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- Nombre de pages197
- FormatePub
- ISBN2-402-11664-1
- EAN9782402116640
- Date de parution01/01/1999
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille809 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Chem...
Résumé
23 mai 1898. Au soir de son élection à la députation, Augustin Fontvan, député de la Seine, ancien instituteur de la République que son idéalisme a conduit à s'engager en politique, couche sur le papier la confession intime que lui inspire le remords : celle d'une faute ancienne, jamais avouée, jamais expiée, qui affleure brutalement à sa conscience au moment où il croyait pouvoir savourer en toute quiétude sa première grande victoire électorale.
Cette « repentance » inattendue dont son fils sera le seul dépositaire, ce douloureux héritage qu'il lui lègue comme un secret de famille tant il met en cause son honneur d'homme, va brutalement le ramener dix ans en arrière, dans le décor typique de l'Anjou clérical et rural de la fin du XIXe siècle, à l'heure des grandes lois de laïcisation de l'école publique. Découpée au rythme de l'année scolaire 1887/1888 dont le fil se déroule mois par mois sur fond d'actualité nationale et d'événements locaux véridiques, l'histoire insolite d'Augustin Fontvan n'illustre pas seulement une peinture aussi fidèle que possible de la réalité politique et sociale de l'époque.
Elle nous raconte aussi dans le jeu d'une intrigue romanesque qui fait la part belle aux légendes d'autrefois, le destin tragique d'une amitié avortée et campe, à ce titre, une parabole plus intemporelle contre l'intolérance.
Cette « repentance » inattendue dont son fils sera le seul dépositaire, ce douloureux héritage qu'il lui lègue comme un secret de famille tant il met en cause son honneur d'homme, va brutalement le ramener dix ans en arrière, dans le décor typique de l'Anjou clérical et rural de la fin du XIXe siècle, à l'heure des grandes lois de laïcisation de l'école publique. Découpée au rythme de l'année scolaire 1887/1888 dont le fil se déroule mois par mois sur fond d'actualité nationale et d'événements locaux véridiques, l'histoire insolite d'Augustin Fontvan n'illustre pas seulement une peinture aussi fidèle que possible de la réalité politique et sociale de l'époque.
Elle nous raconte aussi dans le jeu d'une intrigue romanesque qui fait la part belle aux légendes d'autrefois, le destin tragique d'une amitié avortée et campe, à ce titre, une parabole plus intemporelle contre l'intolérance.
23 mai 1898. Au soir de son élection à la députation, Augustin Fontvan, député de la Seine, ancien instituteur de la République que son idéalisme a conduit à s'engager en politique, couche sur le papier la confession intime que lui inspire le remords : celle d'une faute ancienne, jamais avouée, jamais expiée, qui affleure brutalement à sa conscience au moment où il croyait pouvoir savourer en toute quiétude sa première grande victoire électorale.
Cette « repentance » inattendue dont son fils sera le seul dépositaire, ce douloureux héritage qu'il lui lègue comme un secret de famille tant il met en cause son honneur d'homme, va brutalement le ramener dix ans en arrière, dans le décor typique de l'Anjou clérical et rural de la fin du XIXe siècle, à l'heure des grandes lois de laïcisation de l'école publique. Découpée au rythme de l'année scolaire 1887/1888 dont le fil se déroule mois par mois sur fond d'actualité nationale et d'événements locaux véridiques, l'histoire insolite d'Augustin Fontvan n'illustre pas seulement une peinture aussi fidèle que possible de la réalité politique et sociale de l'époque.
Elle nous raconte aussi dans le jeu d'une intrigue romanesque qui fait la part belle aux légendes d'autrefois, le destin tragique d'une amitié avortée et campe, à ce titre, une parabole plus intemporelle contre l'intolérance.
Cette « repentance » inattendue dont son fils sera le seul dépositaire, ce douloureux héritage qu'il lui lègue comme un secret de famille tant il met en cause son honneur d'homme, va brutalement le ramener dix ans en arrière, dans le décor typique de l'Anjou clérical et rural de la fin du XIXe siècle, à l'heure des grandes lois de laïcisation de l'école publique. Découpée au rythme de l'année scolaire 1887/1888 dont le fil se déroule mois par mois sur fond d'actualité nationale et d'événements locaux véridiques, l'histoire insolite d'Augustin Fontvan n'illustre pas seulement une peinture aussi fidèle que possible de la réalité politique et sociale de l'époque.
Elle nous raconte aussi dans le jeu d'une intrigue romanesque qui fait la part belle aux légendes d'autrefois, le destin tragique d'une amitié avortée et campe, à ce titre, une parabole plus intemporelle contre l'intolérance.