L'école de la République face aux jeunes musulmans. La fausse note
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- Nombre de pages202
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-17392-7
- EAN9782296173927
- Date de parution15/06/2007
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille6 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Depuis trente ans, la France est devenue un pays à forte immigration maghrébine et afro-musulmane. La présence sur le sol français de millions de personnes attachées à des pratiques cultuelles et culturelles différentes de celles de la majorité de leurs concitoyens, n'a pas manqué de susciter des problèmes de voisinage, parfois difficiles à résoudre. Les affaires répétitives des " foulards ", par exemple, ont généré un sentiment de crainte que l'histoire ne se reprenne à bégayer et que la Nation ne connaisse, de nouveau, avec une autre religion, ces mêmes " embarras " jadis rencontrés avec le catholicisme.
Ce qui gêne énormément avec l'avènement de l'Islam, c'est que même les pratiques courantes du musulman sont abondamment inspirées et fortement redevables aux valeurs du sacré inculquées par cette religion. L'inadéquation avec la modernité et sa composante fondatrice, la rationalité, est présupposée par l'application de telles valeurs. Les nouvelles querelles entre ce qui appartient à César et ce qui appartient à Dieu ne peuvent que déborder et frapper l'entendement d'une partie de la population qui pensait en avoir terminé avec l'intrusion du religieux dans l'espace public.
Ce qui gêne énormément avec l'avènement de l'Islam, c'est que même les pratiques courantes du musulman sont abondamment inspirées et fortement redevables aux valeurs du sacré inculquées par cette religion. L'inadéquation avec la modernité et sa composante fondatrice, la rationalité, est présupposée par l'application de telles valeurs. Les nouvelles querelles entre ce qui appartient à César et ce qui appartient à Dieu ne peuvent que déborder et frapper l'entendement d'une partie de la population qui pensait en avoir terminé avec l'intrusion du religieux dans l'espace public.
Depuis trente ans, la France est devenue un pays à forte immigration maghrébine et afro-musulmane. La présence sur le sol français de millions de personnes attachées à des pratiques cultuelles et culturelles différentes de celles de la majorité de leurs concitoyens, n'a pas manqué de susciter des problèmes de voisinage, parfois difficiles à résoudre. Les affaires répétitives des " foulards ", par exemple, ont généré un sentiment de crainte que l'histoire ne se reprenne à bégayer et que la Nation ne connaisse, de nouveau, avec une autre religion, ces mêmes " embarras " jadis rencontrés avec le catholicisme.
Ce qui gêne énormément avec l'avènement de l'Islam, c'est que même les pratiques courantes du musulman sont abondamment inspirées et fortement redevables aux valeurs du sacré inculquées par cette religion. L'inadéquation avec la modernité et sa composante fondatrice, la rationalité, est présupposée par l'application de telles valeurs. Les nouvelles querelles entre ce qui appartient à César et ce qui appartient à Dieu ne peuvent que déborder et frapper l'entendement d'une partie de la population qui pensait en avoir terminé avec l'intrusion du religieux dans l'espace public.
Ce qui gêne énormément avec l'avènement de l'Islam, c'est que même les pratiques courantes du musulman sont abondamment inspirées et fortement redevables aux valeurs du sacré inculquées par cette religion. L'inadéquation avec la modernité et sa composante fondatrice, la rationalité, est présupposée par l'application de telles valeurs. Les nouvelles querelles entre ce qui appartient à César et ce qui appartient à Dieu ne peuvent que déborder et frapper l'entendement d'une partie de la population qui pensait en avoir terminé avec l'intrusion du religieux dans l'espace public.