L'eau dans les villes d'Amérique latine
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- Nombre de pages210
- FormatPDF
- ISBN2-296-17514-7
- EAN9782296175143
- Date de parution15/04/2001
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Pourquoi une part importante des habitants des villes d'Amérique latine n'a-t-elle pas accès aux services de l'eau potable et de l'assainissement ? Pourquoi certaines personnes disposent-elles de piscines privées alors que d'autres doivent faire la queue à des robinets installés dans la rue ou attendre le passage d'un camion-citerne pour avoir de l'eau ? Pourquoi l'impact sanitaire de la mauvaise qualité de l'eau et du manque d'hygiène concerne-t-il d'abord les populations socialement en marge ? Pourquoi enfin de grandes firmes transnationales très prospères en arrivent aujourd'hui à gérer l'eau de manière privée dans les villes latino-américaines alors que les populations insolvables sont laissées-pour-compte ?
Cet ouvrage tente de répondre à ces questions.
Pour cela, l'auteur privilégie une approche de géographie sociale en étudiant les infrastructures et les comportements relatifs à l'eau. Il montre ainsi que le fonctionnement de l'eau dans la ville reflète finalement celui de la société qui lui correspond. Jean-Marc Fournier recherche constamment l'explication des paradoxes liés à l'eau en s'intéressant aux mécanismes sociaux qui produisent les inégalités de distribution.
Ces inégalités sont explicitement inscrites, traduites dans l'espace géographique ce qui explique la double perspective de la lecture ici retenue : sociale et spatiale. La réflexion est essentiellement appliquée à trois villes-laboratoires que sont Puebla (Mexique), Maracaibo, (Venezuela) et Ciudad Juarez-El Paso (villes jumelles de la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis), prises comme exemples d'une problématique générale.
Pour cela, l'auteur privilégie une approche de géographie sociale en étudiant les infrastructures et les comportements relatifs à l'eau. Il montre ainsi que le fonctionnement de l'eau dans la ville reflète finalement celui de la société qui lui correspond. Jean-Marc Fournier recherche constamment l'explication des paradoxes liés à l'eau en s'intéressant aux mécanismes sociaux qui produisent les inégalités de distribution.
Ces inégalités sont explicitement inscrites, traduites dans l'espace géographique ce qui explique la double perspective de la lecture ici retenue : sociale et spatiale. La réflexion est essentiellement appliquée à trois villes-laboratoires que sont Puebla (Mexique), Maracaibo, (Venezuela) et Ciudad Juarez-El Paso (villes jumelles de la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis), prises comme exemples d'une problématique générale.
Pourquoi une part importante des habitants des villes d'Amérique latine n'a-t-elle pas accès aux services de l'eau potable et de l'assainissement ? Pourquoi certaines personnes disposent-elles de piscines privées alors que d'autres doivent faire la queue à des robinets installés dans la rue ou attendre le passage d'un camion-citerne pour avoir de l'eau ? Pourquoi l'impact sanitaire de la mauvaise qualité de l'eau et du manque d'hygiène concerne-t-il d'abord les populations socialement en marge ? Pourquoi enfin de grandes firmes transnationales très prospères en arrivent aujourd'hui à gérer l'eau de manière privée dans les villes latino-américaines alors que les populations insolvables sont laissées-pour-compte ?
Cet ouvrage tente de répondre à ces questions.
Pour cela, l'auteur privilégie une approche de géographie sociale en étudiant les infrastructures et les comportements relatifs à l'eau. Il montre ainsi que le fonctionnement de l'eau dans la ville reflète finalement celui de la société qui lui correspond. Jean-Marc Fournier recherche constamment l'explication des paradoxes liés à l'eau en s'intéressant aux mécanismes sociaux qui produisent les inégalités de distribution.
Ces inégalités sont explicitement inscrites, traduites dans l'espace géographique ce qui explique la double perspective de la lecture ici retenue : sociale et spatiale. La réflexion est essentiellement appliquée à trois villes-laboratoires que sont Puebla (Mexique), Maracaibo, (Venezuela) et Ciudad Juarez-El Paso (villes jumelles de la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis), prises comme exemples d'une problématique générale.
Pour cela, l'auteur privilégie une approche de géographie sociale en étudiant les infrastructures et les comportements relatifs à l'eau. Il montre ainsi que le fonctionnement de l'eau dans la ville reflète finalement celui de la société qui lui correspond. Jean-Marc Fournier recherche constamment l'explication des paradoxes liés à l'eau en s'intéressant aux mécanismes sociaux qui produisent les inégalités de distribution.
Ces inégalités sont explicitement inscrites, traduites dans l'espace géographique ce qui explique la double perspective de la lecture ici retenue : sociale et spatiale. La réflexion est essentiellement appliquée à trois villes-laboratoires que sont Puebla (Mexique), Maracaibo, (Venezuela) et Ciudad Juarez-El Paso (villes jumelles de la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis), prises comme exemples d'une problématique générale.