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L’autre désinstitutionnalisation. Déficience intellectuelle à l’Hôpital Saint-Michel-Archange de Québec, 1951-2000
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- Nombre de pages160
- FormatPDF
- ISBN978-2-7603-4540-9
- EAN9782760345409
- Date de parution14/05/2025
- Protection num.pas de protection
- Taille30 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurLes Presses de l'Université d'Ottawa
Résumé
L'autre désinstitutionnalisation explore l'histoire de la désinstitutionnalisation de la déficience intellectuelle au Québec. Depuis les années 1960, ce vaste mouvement de réforme a chamboulé l'organisation des services psychiatriques. Les longues périodes d'hospitalisation, vivement critiquées, devaient prendre fin. Désormais, l'institution ne serait plus un milieu de vie, mais bien seulement un lieu de traitement.
Alors que la réforme bat son plein, les patientes et patients ayant un diagnostic de déficience intellectuelle tardent à quitter l'hôpital. D'année en année, ils représentent une part de plus en plus grande de la population institutionnalisée. À l'Hôpital Saint-Michel-Archange de Beauport, en banlieue de Québec, 19 % des patients et patientes avaient un diagnostic de déficience intellectuelle en 1970 contre 15 % en 1960.
Comment furent vécues ces années de réforme par cette population dont la réintégration se fit attendre ? L'autre désinstitutionnalisation répond à cette question en plongeant dans les dossiers médicaux de quatorze patientes et patients de l'Hôpital Saint-Michel-Archange. C'est par les traces que laissèrent dans les archives de cet établissement Claude, Gaston, André, Bernard, Juliette, Monique, Denise, Raymond, Marie, Serge, Fernand, Réal, Marguerite et Pierre que cet ouvrage entend contribuer à une histoire par le bas de la déficience intellectuelle.
Alors que la réforme bat son plein, les patientes et patients ayant un diagnostic de déficience intellectuelle tardent à quitter l'hôpital. D'année en année, ils représentent une part de plus en plus grande de la population institutionnalisée. À l'Hôpital Saint-Michel-Archange de Beauport, en banlieue de Québec, 19 % des patients et patientes avaient un diagnostic de déficience intellectuelle en 1970 contre 15 % en 1960.
Comment furent vécues ces années de réforme par cette population dont la réintégration se fit attendre ? L'autre désinstitutionnalisation répond à cette question en plongeant dans les dossiers médicaux de quatorze patientes et patients de l'Hôpital Saint-Michel-Archange. C'est par les traces que laissèrent dans les archives de cet établissement Claude, Gaston, André, Bernard, Juliette, Monique, Denise, Raymond, Marie, Serge, Fernand, Réal, Marguerite et Pierre que cet ouvrage entend contribuer à une histoire par le bas de la déficience intellectuelle.
L'autre désinstitutionnalisation explore l'histoire de la désinstitutionnalisation de la déficience intellectuelle au Québec. Depuis les années 1960, ce vaste mouvement de réforme a chamboulé l'organisation des services psychiatriques. Les longues périodes d'hospitalisation, vivement critiquées, devaient prendre fin. Désormais, l'institution ne serait plus un milieu de vie, mais bien seulement un lieu de traitement.
Alors que la réforme bat son plein, les patientes et patients ayant un diagnostic de déficience intellectuelle tardent à quitter l'hôpital. D'année en année, ils représentent une part de plus en plus grande de la population institutionnalisée. À l'Hôpital Saint-Michel-Archange de Beauport, en banlieue de Québec, 19 % des patients et patientes avaient un diagnostic de déficience intellectuelle en 1970 contre 15 % en 1960.
Comment furent vécues ces années de réforme par cette population dont la réintégration se fit attendre ? L'autre désinstitutionnalisation répond à cette question en plongeant dans les dossiers médicaux de quatorze patientes et patients de l'Hôpital Saint-Michel-Archange. C'est par les traces que laissèrent dans les archives de cet établissement Claude, Gaston, André, Bernard, Juliette, Monique, Denise, Raymond, Marie, Serge, Fernand, Réal, Marguerite et Pierre que cet ouvrage entend contribuer à une histoire par le bas de la déficience intellectuelle.
Alors que la réforme bat son plein, les patientes et patients ayant un diagnostic de déficience intellectuelle tardent à quitter l'hôpital. D'année en année, ils représentent une part de plus en plus grande de la population institutionnalisée. À l'Hôpital Saint-Michel-Archange de Beauport, en banlieue de Québec, 19 % des patients et patientes avaient un diagnostic de déficience intellectuelle en 1970 contre 15 % en 1960.
Comment furent vécues ces années de réforme par cette population dont la réintégration se fit attendre ? L'autre désinstitutionnalisation répond à cette question en plongeant dans les dossiers médicaux de quatorze patientes et patients de l'Hôpital Saint-Michel-Archange. C'est par les traces que laissèrent dans les archives de cet établissement Claude, Gaston, André, Bernard, Juliette, Monique, Denise, Raymond, Marie, Serge, Fernand, Réal, Marguerite et Pierre que cet ouvrage entend contribuer à une histoire par le bas de la déficience intellectuelle.