L'Art d'en bas au musée d'Orsay. La fantastique collection Hippolyte de L'Apnée
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- Nombre de pages144
- FormatEpub fixed layout
- ISBN978-2-7548-1614-4
- EAN9782754816144
- Date de parution04/11/2016
- Protection num.Adobe DRM
- Taille72 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurÉditions Futuropolis
Résumé
Quand le Musée dOrsay ouvre ses portes au public le 9 décembre 1986, on na encore quune image floue de la masse de richesses héritées dautres institutions. Parmi ces trésors figure la singulière collection Hippolyte de LApnée, legs enregistré en 1910 au Musée du Luxembourg et dont il ne fut jamais rien montré. On en perd même toute trace dès 1911. Cette disparition assourdissante ne devait rien au hasard.
Une main puissante et anonyme a orchestré loccultation du fonds sans, fort heureusement, aller jusquà le détruire purement et simplement. Linitiative venait assurément du sommet. La collection fut redécouverte en 1982 par Le Rubulfier. Était-ce le bout du tunnel pour ces trésors criminellement effacés de la mémoire de lart ? Non. Incroyablement, lextraordinaire découverte fut étouffée ! Dans un contexte politico-culturel plus serein, la collection de LApnée aurait dû, après un siècle dabsurde purgatoire, provoquer un véritable séisme.
Les toiles en particulier, qui suivent un fil rouge des plus surprenants : signées par des artistes abusivement taxés de mineurs pour avoir malencontreusement passé leur vie à lombre de titans, elles nont eu pour seul tort que davoir marqué un pas de côté. Un tout petit pas qui leur valut lexclusion du tableau dhonneur. Cest la singularité de cette collection. La majorité de ces artistes négligés étaient des modestes cousins, des compagnons de volée ou de simples admirateurs cherchant à reproduire la manière de leur prestigieux modèle.
Cest là une entreprise à la fois grandiose et pathétique dont la vacuité apparente ne diminue toutefois en rien lintérêt. Objets de dérision aux yeux de la critique institutionnelle de lépoque, ces figures malmenées ont fini par disparaître pour la plupart des écrans radar. Cest au prix de longues recherches menées avec une infinie patience que Plonk & Replonk sont parvenus à faire revivre ces victimes de la pensée unique.
Quils en soient ici chaleureusement remerciés. Le moment est venu de nous pencher enfin avec une bienveillante curiosité sur ce cadeau surgi du néant dun injuste oubli pour le juger avec la nouvelle objectivité quil mérite.
Une main puissante et anonyme a orchestré loccultation du fonds sans, fort heureusement, aller jusquà le détruire purement et simplement. Linitiative venait assurément du sommet. La collection fut redécouverte en 1982 par Le Rubulfier. Était-ce le bout du tunnel pour ces trésors criminellement effacés de la mémoire de lart ? Non. Incroyablement, lextraordinaire découverte fut étouffée ! Dans un contexte politico-culturel plus serein, la collection de LApnée aurait dû, après un siècle dabsurde purgatoire, provoquer un véritable séisme.
Les toiles en particulier, qui suivent un fil rouge des plus surprenants : signées par des artistes abusivement taxés de mineurs pour avoir malencontreusement passé leur vie à lombre de titans, elles nont eu pour seul tort que davoir marqué un pas de côté. Un tout petit pas qui leur valut lexclusion du tableau dhonneur. Cest la singularité de cette collection. La majorité de ces artistes négligés étaient des modestes cousins, des compagnons de volée ou de simples admirateurs cherchant à reproduire la manière de leur prestigieux modèle.
Cest là une entreprise à la fois grandiose et pathétique dont la vacuité apparente ne diminue toutefois en rien lintérêt. Objets de dérision aux yeux de la critique institutionnelle de lépoque, ces figures malmenées ont fini par disparaître pour la plupart des écrans radar. Cest au prix de longues recherches menées avec une infinie patience que Plonk & Replonk sont parvenus à faire revivre ces victimes de la pensée unique.
Quils en soient ici chaleureusement remerciés. Le moment est venu de nous pencher enfin avec une bienveillante curiosité sur ce cadeau surgi du néant dun injuste oubli pour le juger avec la nouvelle objectivité quil mérite.
Quand le Musée dOrsay ouvre ses portes au public le 9 décembre 1986, on na encore quune image floue de la masse de richesses héritées dautres institutions. Parmi ces trésors figure la singulière collection Hippolyte de LApnée, legs enregistré en 1910 au Musée du Luxembourg et dont il ne fut jamais rien montré. On en perd même toute trace dès 1911. Cette disparition assourdissante ne devait rien au hasard.
Une main puissante et anonyme a orchestré loccultation du fonds sans, fort heureusement, aller jusquà le détruire purement et simplement. Linitiative venait assurément du sommet. La collection fut redécouverte en 1982 par Le Rubulfier. Était-ce le bout du tunnel pour ces trésors criminellement effacés de la mémoire de lart ? Non. Incroyablement, lextraordinaire découverte fut étouffée ! Dans un contexte politico-culturel plus serein, la collection de LApnée aurait dû, après un siècle dabsurde purgatoire, provoquer un véritable séisme.
Les toiles en particulier, qui suivent un fil rouge des plus surprenants : signées par des artistes abusivement taxés de mineurs pour avoir malencontreusement passé leur vie à lombre de titans, elles nont eu pour seul tort que davoir marqué un pas de côté. Un tout petit pas qui leur valut lexclusion du tableau dhonneur. Cest la singularité de cette collection. La majorité de ces artistes négligés étaient des modestes cousins, des compagnons de volée ou de simples admirateurs cherchant à reproduire la manière de leur prestigieux modèle.
Cest là une entreprise à la fois grandiose et pathétique dont la vacuité apparente ne diminue toutefois en rien lintérêt. Objets de dérision aux yeux de la critique institutionnelle de lépoque, ces figures malmenées ont fini par disparaître pour la plupart des écrans radar. Cest au prix de longues recherches menées avec une infinie patience que Plonk & Replonk sont parvenus à faire revivre ces victimes de la pensée unique.
Quils en soient ici chaleureusement remerciés. Le moment est venu de nous pencher enfin avec une bienveillante curiosité sur ce cadeau surgi du néant dun injuste oubli pour le juger avec la nouvelle objectivité quil mérite.
Une main puissante et anonyme a orchestré loccultation du fonds sans, fort heureusement, aller jusquà le détruire purement et simplement. Linitiative venait assurément du sommet. La collection fut redécouverte en 1982 par Le Rubulfier. Était-ce le bout du tunnel pour ces trésors criminellement effacés de la mémoire de lart ? Non. Incroyablement, lextraordinaire découverte fut étouffée ! Dans un contexte politico-culturel plus serein, la collection de LApnée aurait dû, après un siècle dabsurde purgatoire, provoquer un véritable séisme.
Les toiles en particulier, qui suivent un fil rouge des plus surprenants : signées par des artistes abusivement taxés de mineurs pour avoir malencontreusement passé leur vie à lombre de titans, elles nont eu pour seul tort que davoir marqué un pas de côté. Un tout petit pas qui leur valut lexclusion du tableau dhonneur. Cest la singularité de cette collection. La majorité de ces artistes négligés étaient des modestes cousins, des compagnons de volée ou de simples admirateurs cherchant à reproduire la manière de leur prestigieux modèle.
Cest là une entreprise à la fois grandiose et pathétique dont la vacuité apparente ne diminue toutefois en rien lintérêt. Objets de dérision aux yeux de la critique institutionnelle de lépoque, ces figures malmenées ont fini par disparaître pour la plupart des écrans radar. Cest au prix de longues recherches menées avec une infinie patience que Plonk & Replonk sont parvenus à faire revivre ces victimes de la pensée unique.
Quils en soient ici chaleureusement remerciés. Le moment est venu de nous pencher enfin avec une bienveillante curiosité sur ce cadeau surgi du néant dun injuste oubli pour le juger avec la nouvelle objectivité quil mérite.
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