L'Art comme figure du bonheur
Par : ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages192
- FormatPDF
- ISBN979-10-370-2739-9
- EAN9791037027399
- Date de parution07/09/2016
- Protection num.Adobe DRM
- Taille13 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
Résumé
A travers l'art, se dévoile peu à peu à chacun la réalité qu'il désire être et dans laquelle il peut se réjouir de lui-même et d'autrui comme un être capable d'accéder à sa propre réalité, à son propre bonheur et par là, à son propre achèvement culturel. L'art comme figure du bonheur se découvre ainsi à la racine de la vie sociale. Il y unifie toutes les formes culturelles de régulation affective, pratique et cognitive du devenir humain, et relativise comme telles les formes morales et politiques de dressage auxquelles on a soumis l'être humain dans son « histoire » sous l'appellation de « civilisation ».
La reconstitution de sa dynamique transculturelle permet de restaurer ici, à travers le temps, la fonction philosophique de toute culture, tout en nous réinitiant aux perceptions bienheureuses du monde, d'autrui et de nous-mêmes auxquelles elle nous donne accès et en dévoilant les limites autistiques et tragiques du désastre civilisationnel que nous vivons.
A travers l'art, se dévoile peu à peu à chacun la réalité qu'il désire être et dans laquelle il peut se réjouir de lui-même et d'autrui comme un être capable d'accéder à sa propre réalité, à son propre bonheur et par là, à son propre achèvement culturel. L'art comme figure du bonheur se découvre ainsi à la racine de la vie sociale. Il y unifie toutes les formes culturelles de régulation affective, pratique et cognitive du devenir humain, et relativise comme telles les formes morales et politiques de dressage auxquelles on a soumis l'être humain dans son « histoire » sous l'appellation de « civilisation ».
La reconstitution de sa dynamique transculturelle permet de restaurer ici, à travers le temps, la fonction philosophique de toute culture, tout en nous réinitiant aux perceptions bienheureuses du monde, d'autrui et de nous-mêmes auxquelles elle nous donne accès et en dévoilant les limites autistiques et tragiques du désastre civilisationnel que nous vivons.