L'arbre dans la cité. Histoire d'une conquête XVIIe-XXIe siècle
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- Nombre de pages392
- FormatPDF
- ISBN978-2-7465-2740-9
- EAN9782746527409
- Date de parution04/10/2023
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe DRM
- Taille4 Mo
- Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
- ÉditeurLe Pommier
Résumé
Autrefois, l'arbre en ville était cantonné aux enclos vivriers, il n'ombrageait pas nos routes ni nos fleuves et nos canaux. Vivant plutôt à la campagne, il procurait bois, fruits, fibres et feuilles. Aujourd'hui, le végétal entre en force dans nos cités par trop minérales ; il améliore nos conditions de vie, protège le sol, régule la température, purifie l'air et atténue les bruits. Comment l'arbre a-t-il conquis le pavé ? Cette histoire, moins utilitaire et monolithique qu'il n'y paraît, croise en fait celle de la modernité, et mérite d'être racontée.
Car, bien avant la révolution industrielle et son introduction dans la cité pour assainir l'air, l'arbre s'y est fait une place dès la Révolution, comme symbole de la liberté. Récupéré dans le champ politique, il a depuis servi à commémorer un événement, à symboliser l'autorité, à améliorer l'aménagement urbain ou encore à satisfaire le besoin de nature des administrés. Ce faisant, il a suscité à la fois colères et affections.
Une histoire qui est ainsi celle des hommes, de leurs revendications et de leurs aspirations. Mort ou vif, l'arbre fait partie du roman national.
Car, bien avant la révolution industrielle et son introduction dans la cité pour assainir l'air, l'arbre s'y est fait une place dès la Révolution, comme symbole de la liberté. Récupéré dans le champ politique, il a depuis servi à commémorer un événement, à symboliser l'autorité, à améliorer l'aménagement urbain ou encore à satisfaire le besoin de nature des administrés. Ce faisant, il a suscité à la fois colères et affections.
Une histoire qui est ainsi celle des hommes, de leurs revendications et de leurs aspirations. Mort ou vif, l'arbre fait partie du roman national.
Autrefois, l'arbre en ville était cantonné aux enclos vivriers, il n'ombrageait pas nos routes ni nos fleuves et nos canaux. Vivant plutôt à la campagne, il procurait bois, fruits, fibres et feuilles. Aujourd'hui, le végétal entre en force dans nos cités par trop minérales ; il améliore nos conditions de vie, protège le sol, régule la température, purifie l'air et atténue les bruits. Comment l'arbre a-t-il conquis le pavé ? Cette histoire, moins utilitaire et monolithique qu'il n'y paraît, croise en fait celle de la modernité, et mérite d'être racontée.
Car, bien avant la révolution industrielle et son introduction dans la cité pour assainir l'air, l'arbre s'y est fait une place dès la Révolution, comme symbole de la liberté. Récupéré dans le champ politique, il a depuis servi à commémorer un événement, à symboliser l'autorité, à améliorer l'aménagement urbain ou encore à satisfaire le besoin de nature des administrés. Ce faisant, il a suscité à la fois colères et affections.
Une histoire qui est ainsi celle des hommes, de leurs revendications et de leurs aspirations. Mort ou vif, l'arbre fait partie du roman national.
Car, bien avant la révolution industrielle et son introduction dans la cité pour assainir l'air, l'arbre s'y est fait une place dès la Révolution, comme symbole de la liberté. Récupéré dans le champ politique, il a depuis servi à commémorer un événement, à symboliser l'autorité, à améliorer l'aménagement urbain ou encore à satisfaire le besoin de nature des administrés. Ce faisant, il a suscité à la fois colères et affections.
Une histoire qui est ainsi celle des hommes, de leurs revendications et de leurs aspirations. Mort ou vif, l'arbre fait partie du roman national.