L'application du traité de Fez dans la région de Souss. Tome 3, La politique berbère du Protectorat français au Maroc (1912-1956)
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- Nombre de pages284
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-46199-4
- EAN9782296461994
- Date de parution01/05/2011
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille11 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierJean Martin
Résumé
Le Traité de Protectorat, signé à Fez le 30 mars 1912 par le Sultan Moulay Hafid, marqua le début de la présence française au Maroc jusqu'à son indépendance en 1956. Contrairement au reste du Maroc, le Souss, jadis puissant et indépendant, a fait l'objet d'une politique spécifique qui se réduisait à deux éléments essentiels : le respect des coutumes juridiques et la politique dite " des grands Caïds ".
Plus connue sous le nom de politique berbère, celle-ci favorisait l'organisation administrative et judiciaire des tribus berbères sous ses divers aspects (Chrâa, Makhzen) et repoussant, paradoxalement, certaines règles du droit musulman et n'obéissant, en principe, qu'à des coutumes locales appelées Orf ou Izref. Ainsi l'application des lois existantes dans le Souss allait se heurter à une fusion quasi complète du législatif et du judiciaire justifiant les nouveaux modes de l'influence française dans le processus d'occidentalisation du pays que le Gouvernement du Protectorat voulait bien poursuivre.
Par une étude historique solide, cet ouvrage a pour objectif de fournir des éléments nécessaires à la compréhension de l'évolution politique et sociale du pays berbère Chleuh, loin des stéréotypes ou des mythes.
Plus connue sous le nom de politique berbère, celle-ci favorisait l'organisation administrative et judiciaire des tribus berbères sous ses divers aspects (Chrâa, Makhzen) et repoussant, paradoxalement, certaines règles du droit musulman et n'obéissant, en principe, qu'à des coutumes locales appelées Orf ou Izref. Ainsi l'application des lois existantes dans le Souss allait se heurter à une fusion quasi complète du législatif et du judiciaire justifiant les nouveaux modes de l'influence française dans le processus d'occidentalisation du pays que le Gouvernement du Protectorat voulait bien poursuivre.
Par une étude historique solide, cet ouvrage a pour objectif de fournir des éléments nécessaires à la compréhension de l'évolution politique et sociale du pays berbère Chleuh, loin des stéréotypes ou des mythes.
Le Traité de Protectorat, signé à Fez le 30 mars 1912 par le Sultan Moulay Hafid, marqua le début de la présence française au Maroc jusqu'à son indépendance en 1956. Contrairement au reste du Maroc, le Souss, jadis puissant et indépendant, a fait l'objet d'une politique spécifique qui se réduisait à deux éléments essentiels : le respect des coutumes juridiques et la politique dite " des grands Caïds ".
Plus connue sous le nom de politique berbère, celle-ci favorisait l'organisation administrative et judiciaire des tribus berbères sous ses divers aspects (Chrâa, Makhzen) et repoussant, paradoxalement, certaines règles du droit musulman et n'obéissant, en principe, qu'à des coutumes locales appelées Orf ou Izref. Ainsi l'application des lois existantes dans le Souss allait se heurter à une fusion quasi complète du législatif et du judiciaire justifiant les nouveaux modes de l'influence française dans le processus d'occidentalisation du pays que le Gouvernement du Protectorat voulait bien poursuivre.
Par une étude historique solide, cet ouvrage a pour objectif de fournir des éléments nécessaires à la compréhension de l'évolution politique et sociale du pays berbère Chleuh, loin des stéréotypes ou des mythes.
Plus connue sous le nom de politique berbère, celle-ci favorisait l'organisation administrative et judiciaire des tribus berbères sous ses divers aspects (Chrâa, Makhzen) et repoussant, paradoxalement, certaines règles du droit musulman et n'obéissant, en principe, qu'à des coutumes locales appelées Orf ou Izref. Ainsi l'application des lois existantes dans le Souss allait se heurter à une fusion quasi complète du législatif et du judiciaire justifiant les nouveaux modes de l'influence française dans le processus d'occidentalisation du pays que le Gouvernement du Protectorat voulait bien poursuivre.
Par une étude historique solide, cet ouvrage a pour objectif de fournir des éléments nécessaires à la compréhension de l'évolution politique et sociale du pays berbère Chleuh, loin des stéréotypes ou des mythes.