L'ANIMAL ET LE PSYCHANALYSTE. Le meurtre du grand singe
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages226
- FormatPDF
- ISBN2-296-37666-5
- EAN9782296376663
- Date de parution01/01/1999
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille6 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Freud nous a proposé une conception complexe d'un " appareil psychique ", héritage que ses successeurs s'emploient à développer, atteignant parfois dans leurs efforts ce que nous pourrions appeler des Annapurna conceptuels.
Toutefois, bien peu de théoriciens de la psychanalyse mettent en question un double concept, celui d'animalité et celui d'humanité, systèmes de représentations, d'idées sur l'animal et l'humain, l'un invalidant l'autre.
Pourtant Freud, particulièrement dans ses travaux de psychanalyse appliquée, avait donné là quelques coups de boutoir. Car, dès l'aube de l'humanité, celle-ci s'emploie à refouler son animalité. Objet d'interminables débats philosophiques et théologiques, l'animalité s'est vue avant tout refuser toute âme, toute affectivité, toute sensibilité. Elle ne fonctionnerait qu'à l'instinct. Est-ce un instinct chez l'homme que de refuser son animalité ? En tous cas, ce refoulé-là peut nous revenir avec une violence incontrôlable s'il ne nous empêche pas par ailleurs d'atteindre une compréhension de certains fonctionnements humains.
M.-Th. Neyraut-Sutterman. Ce recueil propose une approche pluridisciplinaire de la question : médicale (M. Robert), phylogénétique (S. Vallée-Vignot, R. Shäppi), philosophique (F Burgat), psycholittéraire (E. Castellano-Maury, M. D. Gertler, J. Violette), poétique (A. Mezei) et psychanalytique (M.-Th. Neyraut-Sutterman).
Pourtant Freud, particulièrement dans ses travaux de psychanalyse appliquée, avait donné là quelques coups de boutoir. Car, dès l'aube de l'humanité, celle-ci s'emploie à refouler son animalité. Objet d'interminables débats philosophiques et théologiques, l'animalité s'est vue avant tout refuser toute âme, toute affectivité, toute sensibilité. Elle ne fonctionnerait qu'à l'instinct. Est-ce un instinct chez l'homme que de refuser son animalité ? En tous cas, ce refoulé-là peut nous revenir avec une violence incontrôlable s'il ne nous empêche pas par ailleurs d'atteindre une compréhension de certains fonctionnements humains.
M.-Th. Neyraut-Sutterman. Ce recueil propose une approche pluridisciplinaire de la question : médicale (M. Robert), phylogénétique (S. Vallée-Vignot, R. Shäppi), philosophique (F Burgat), psycholittéraire (E. Castellano-Maury, M. D. Gertler, J. Violette), poétique (A. Mezei) et psychanalytique (M.-Th. Neyraut-Sutterman).
Freud nous a proposé une conception complexe d'un " appareil psychique ", héritage que ses successeurs s'emploient à développer, atteignant parfois dans leurs efforts ce que nous pourrions appeler des Annapurna conceptuels.
Toutefois, bien peu de théoriciens de la psychanalyse mettent en question un double concept, celui d'animalité et celui d'humanité, systèmes de représentations, d'idées sur l'animal et l'humain, l'un invalidant l'autre.
Pourtant Freud, particulièrement dans ses travaux de psychanalyse appliquée, avait donné là quelques coups de boutoir. Car, dès l'aube de l'humanité, celle-ci s'emploie à refouler son animalité. Objet d'interminables débats philosophiques et théologiques, l'animalité s'est vue avant tout refuser toute âme, toute affectivité, toute sensibilité. Elle ne fonctionnerait qu'à l'instinct. Est-ce un instinct chez l'homme que de refuser son animalité ? En tous cas, ce refoulé-là peut nous revenir avec une violence incontrôlable s'il ne nous empêche pas par ailleurs d'atteindre une compréhension de certains fonctionnements humains.
M.-Th. Neyraut-Sutterman. Ce recueil propose une approche pluridisciplinaire de la question : médicale (M. Robert), phylogénétique (S. Vallée-Vignot, R. Shäppi), philosophique (F Burgat), psycholittéraire (E. Castellano-Maury, M. D. Gertler, J. Violette), poétique (A. Mezei) et psychanalytique (M.-Th. Neyraut-Sutterman).
Pourtant Freud, particulièrement dans ses travaux de psychanalyse appliquée, avait donné là quelques coups de boutoir. Car, dès l'aube de l'humanité, celle-ci s'emploie à refouler son animalité. Objet d'interminables débats philosophiques et théologiques, l'animalité s'est vue avant tout refuser toute âme, toute affectivité, toute sensibilité. Elle ne fonctionnerait qu'à l'instinct. Est-ce un instinct chez l'homme que de refuser son animalité ? En tous cas, ce refoulé-là peut nous revenir avec une violence incontrôlable s'il ne nous empêche pas par ailleurs d'atteindre une compréhension de certains fonctionnements humains.
M.-Th. Neyraut-Sutterman. Ce recueil propose une approche pluridisciplinaire de la question : médicale (M. Robert), phylogénétique (S. Vallée-Vignot, R. Shäppi), philosophique (F Burgat), psycholittéraire (E. Castellano-Maury, M. D. Gertler, J. Violette), poétique (A. Mezei) et psychanalytique (M.-Th. Neyraut-Sutterman).