L'Ange invisible dans les trois religions monothéistes

Par : Denis Aboab

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages172
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-20042-5
  • EAN9782296200425
  • Date de parution01/07/2008
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille4 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Au début du XVIIe siècle, Horacio del Monte, neveu du duc d'Urbino, écrivait à (manuel Aboab, rabbin à Venise ; sa lettre commençait ainsi : "Humanum est peccare, diabolicum perseverare, angelicum emendare. Pécher est humain, persévérer est diabolique, s'amender est angélique." Del Monte demandait au rabbin comment il interprétait cet adage, en particulier la dernière partie : angelicum emendare. Le rabbin lui répondit et reproduisit leur correspondance dans un ouvrage qui arriva jusqu'à nous.
Exemplaire, cet échange inter religieux sur les anges, sur le bien et le mal, et sur la vie dans l'au-delà, est le point de départ de l'intérêt de l'auteur pour les anges dans les trois religions. Il nous livre ici le fruit de ses recherches comparatives qu'il s'est efforcé de mener sans parti pris.
Au début du XVIIe siècle, Horacio del Monte, neveu du duc d'Urbino, écrivait à (manuel Aboab, rabbin à Venise ; sa lettre commençait ainsi : "Humanum est peccare, diabolicum perseverare, angelicum emendare. Pécher est humain, persévérer est diabolique, s'amender est angélique." Del Monte demandait au rabbin comment il interprétait cet adage, en particulier la dernière partie : angelicum emendare. Le rabbin lui répondit et reproduisit leur correspondance dans un ouvrage qui arriva jusqu'à nous.
Exemplaire, cet échange inter religieux sur les anges, sur le bien et le mal, et sur la vie dans l'au-delà, est le point de départ de l'intérêt de l'auteur pour les anges dans les trois religions. Il nous livre ici le fruit de ses recherches comparatives qu'il s'est efforcé de mener sans parti pris.