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  • Nombre de pages432
  • FormatePub
  • ISBN978-2-226-30207-6
  • EAN9782226302076
  • Date de parution03/01/2014
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurAlbin Michel

Résumé

Grenade, 31 décembre 1066 : cinq mille Juifs sont massacrés en une nuit. Echappent à la tuerie la jeune Gâlâh et Halim, son ami. Mémoire vivante de son peuple, Gâlâh traverse les siècles. On la retrouve à Séville, à Tolède, à Lisbonne, à Oran, à Constantinople, à Venise, à Haarlem, à Treblinka, à Sarajevo, à New York, à Grenade à nouveau, à Paris enfin, devant une école, un matin de septembre où un tueur l'attend.
Grand roman d'amour entre une jeune fille juive et un poète musulman, L'An prochain à Grenade est aussi un roman épique au souffle puissant, traversé par les guerres et les pogroms. Un roman politique, car la nuit noire de 1066 résonne d'échos étrangement actuels. Un conte philosophique enfin, sur la naissance du mal et la persistance de la haine. En dénonçant les horreurs de la guerre, Gérard de Cortanze, Prix Renaudot 2002 pour Assam, nous offre une magnifique méditation sur un monde où les mots de fraternité et de tolérance semblent avoir perdu tout sens.
Grenade, 31 décembre 1066 : cinq mille Juifs sont massacrés en une nuit. Echappent à la tuerie la jeune Gâlâh et Halim, son ami. Mémoire vivante de son peuple, Gâlâh traverse les siècles. On la retrouve à Séville, à Tolède, à Lisbonne, à Oran, à Constantinople, à Venise, à Haarlem, à Treblinka, à Sarajevo, à New York, à Grenade à nouveau, à Paris enfin, devant une école, un matin de septembre où un tueur l'attend.
Grand roman d'amour entre une jeune fille juive et un poète musulman, L'An prochain à Grenade est aussi un roman épique au souffle puissant, traversé par les guerres et les pogroms. Un roman politique, car la nuit noire de 1066 résonne d'échos étrangement actuels. Un conte philosophique enfin, sur la naissance du mal et la persistance de la haine. En dénonçant les horreurs de la guerre, Gérard de Cortanze, Prix Renaudot 2002 pour Assam, nous offre une magnifique méditation sur un monde où les mots de fraternité et de tolérance semblent avoir perdu tout sens.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Indigeste
Le 31 décembre 1066, les musulmans de Grenade, soulevés par un agitateur qui a semé les graines de la discorde depuis des mois, déferlent dans la ville dans le but d'éradiquer la population juive coupable de tous les maux. Gâlâh, fille de Samuel ibn Kaprun, Nagid et Hadjib de l'émir Abdar al-Fikri, ne doit la vie sauve qu'à sa présence dans la maison d'Halim, son amant musulman. Sentant venir le drame, son père lui a confié le livre où il consigne depuis toujours les évènements qui touchent son peuple, ainsi qu'une khomsa, pierre magique qui donne la vie éternelle. Gâlâh a 14 ans et c'est l'âge qu'elle aura pour toujours. Immortelle, dépositaire de la mémoire du peuple juif, elle va ainsi fuir les massacres, de l'Andalousie où elle est née jusqu'à la Pologne, en passant par la Turquie, les Pays-bas ou New-York. Il faut beaucoup de courage pour arriver au bout de ce pensum indigeste ! Visiblement Gérard de CORTANZE s'est documenté et il n'est pas décidé à laisser perdre le fruit de ses précieuses recherches. Elles sont donc étalées sur 400 pages sans considération pour le pauvre lecteur dupé par un titre et une 4ème de couverture alléchants. Bien sûr, on ne peut nier l'intérêt de montrer la persécution dont a été victime le peuple juif à travers les siècles. Partout ce n'est que massacres, tortures, pogroms, persécutions, exterminations. Difficile dans ces conditions pour la pauvre Gâlâh de trouver un refuge. Où qu'elle soit, les juifs tentent de s'intégrer mais au moindre souci dans la vie de la ville, ils servent de bouc émissaire. A l'origine de tous les mots, ils sont partout et toujours persécutés. Il était sûrement bon de le rappeler et de montrer que la haine et la violence dont ils sont les victimes remontent à la nuit des temps. Mais pourquoi l'avoir fait au détriment du romanesque ? Avec Gâlah, l'auteur tenait un beau personnage de femme qui méritait mieux qu'un seul rôle de témoin de tous les drames qu'elle traverse. Il n'a pas su lui donner corps, la rendre proche. C'est bien dommage, mais cette dénonciation de la barbarie, de l'intolérance, de la noirceur de l'âme humaine pêche par un manque de souffle et une accumulation d'informations. Intéressant mais trop savant.
Le 31 décembre 1066, les musulmans de Grenade, soulevés par un agitateur qui a semé les graines de la discorde depuis des mois, déferlent dans la ville dans le but d'éradiquer la population juive coupable de tous les maux. Gâlâh, fille de Samuel ibn Kaprun, Nagid et Hadjib de l'émir Abdar al-Fikri, ne doit la vie sauve qu'à sa présence dans la maison d'Halim, son amant musulman. Sentant venir le drame, son père lui a confié le livre où il consigne depuis toujours les évènements qui touchent son peuple, ainsi qu'une khomsa, pierre magique qui donne la vie éternelle. Gâlâh a 14 ans et c'est l'âge qu'elle aura pour toujours. Immortelle, dépositaire de la mémoire du peuple juif, elle va ainsi fuir les massacres, de l'Andalousie où elle est née jusqu'à la Pologne, en passant par la Turquie, les Pays-bas ou New-York. Il faut beaucoup de courage pour arriver au bout de ce pensum indigeste ! Visiblement Gérard de CORTANZE s'est documenté et il n'est pas décidé à laisser perdre le fruit de ses précieuses recherches. Elles sont donc étalées sur 400 pages sans considération pour le pauvre lecteur dupé par un titre et une 4ème de couverture alléchants. Bien sûr, on ne peut nier l'intérêt de montrer la persécution dont a été victime le peuple juif à travers les siècles. Partout ce n'est que massacres, tortures, pogroms, persécutions, exterminations. Difficile dans ces conditions pour la pauvre Gâlâh de trouver un refuge. Où qu'elle soit, les juifs tentent de s'intégrer mais au moindre souci dans la vie de la ville, ils servent de bouc émissaire. A l'origine de tous les mots, ils sont partout et toujours persécutés. Il était sûrement bon de le rappeler et de montrer que la haine et la violence dont ils sont les victimes remontent à la nuit des temps. Mais pourquoi l'avoir fait au détriment du romanesque ? Avec Gâlah, l'auteur tenait un beau personnage de femme qui méritait mieux qu'un seul rôle de témoin de tous les drames qu'elle traverse. Il n'a pas su lui donner corps, la rendre proche. C'est bien dommage, mais cette dénonciation de la barbarie, de l'intolérance, de la noirceur de l'âme humaine pêche par un manque de souffle et une accumulation d'informations. Intéressant mais trop savant.
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