L'amiral Jean-Baptiste de Traversay. Un Français ministre de la marine des tsars
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- Nombre de pages476
- FormatePub
- ISBN2-402-17716-0
- EAN9782402177160
- Date de parution01/01/1996
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Tall...
Résumé
« Quel roman que ma vie ! » disait Napoléon. Le mot aurait pu être repris par le personnage dont vous allez lire la vie : Jean - Baptiste Prévost de Sansac de Traversay. Ce marin a servi lors de la guerre d'Indépendance des États-Unis sous l'amiral de Grasse et s'est illustré à la Chesapeake. Sous la Révolution, il passe en Russie. Apprécié par Catherine II, Paul Ier et Alexandre Ier. il réorganise la flotte russe et devient en 1811 ministre de la Marine.
Sa réputation est si grande que Napoléon tente de le rappeler en France après la signature de la paix de Tilsit. L'empereur s'y connaît en homme : il demande à Traversay de dicter les conditions de son retour. Traversay refuse... Placé à la tête de la marine impériale, au lieu de Decrès, si critiqué, il eût certainement donné une impulsion nouvelle aux chantiers de construction et insufflé un esprit d'initiative à des amiraux devenus timorés depuis Trafalgar.
Napoléon regrettait la marine de Louis XVI. Traversay l'eût, peut-être, ressuscitée. Les apports du livre de Madeleine du Chatenet sont importants. Nul n'avait aussi clairement mis en évidence la volonté de Napoléon de joindre les vaisseaux russes aux navires français, portugais et danois dans une « flotte » de coalition qui eût été sur mer l'équivalent de la Grande Armée sur terre. Enfin, l'on ignorait les expéditions russes dans l'Antarctique dues à l'impulsion de Traversay : c'est la principale révélation de ce livre.
Oublié de la presque totalité des dictionnaires, Traversay ne sera plus seulement un nom sur une carte géographique, Madeleine du Chatenet lui donne sa vraie place, celle de l'un des plus grands marins de la fin du XVIIIe siècle et du début du XIXe. Jean Tulard (extrait de la préface)
Sa réputation est si grande que Napoléon tente de le rappeler en France après la signature de la paix de Tilsit. L'empereur s'y connaît en homme : il demande à Traversay de dicter les conditions de son retour. Traversay refuse... Placé à la tête de la marine impériale, au lieu de Decrès, si critiqué, il eût certainement donné une impulsion nouvelle aux chantiers de construction et insufflé un esprit d'initiative à des amiraux devenus timorés depuis Trafalgar.
Napoléon regrettait la marine de Louis XVI. Traversay l'eût, peut-être, ressuscitée. Les apports du livre de Madeleine du Chatenet sont importants. Nul n'avait aussi clairement mis en évidence la volonté de Napoléon de joindre les vaisseaux russes aux navires français, portugais et danois dans une « flotte » de coalition qui eût été sur mer l'équivalent de la Grande Armée sur terre. Enfin, l'on ignorait les expéditions russes dans l'Antarctique dues à l'impulsion de Traversay : c'est la principale révélation de ce livre.
Oublié de la presque totalité des dictionnaires, Traversay ne sera plus seulement un nom sur une carte géographique, Madeleine du Chatenet lui donne sa vraie place, celle de l'un des plus grands marins de la fin du XVIIIe siècle et du début du XIXe. Jean Tulard (extrait de la préface)
« Quel roman que ma vie ! » disait Napoléon. Le mot aurait pu être repris par le personnage dont vous allez lire la vie : Jean - Baptiste Prévost de Sansac de Traversay. Ce marin a servi lors de la guerre d'Indépendance des États-Unis sous l'amiral de Grasse et s'est illustré à la Chesapeake. Sous la Révolution, il passe en Russie. Apprécié par Catherine II, Paul Ier et Alexandre Ier. il réorganise la flotte russe et devient en 1811 ministre de la Marine.
Sa réputation est si grande que Napoléon tente de le rappeler en France après la signature de la paix de Tilsit. L'empereur s'y connaît en homme : il demande à Traversay de dicter les conditions de son retour. Traversay refuse... Placé à la tête de la marine impériale, au lieu de Decrès, si critiqué, il eût certainement donné une impulsion nouvelle aux chantiers de construction et insufflé un esprit d'initiative à des amiraux devenus timorés depuis Trafalgar.
Napoléon regrettait la marine de Louis XVI. Traversay l'eût, peut-être, ressuscitée. Les apports du livre de Madeleine du Chatenet sont importants. Nul n'avait aussi clairement mis en évidence la volonté de Napoléon de joindre les vaisseaux russes aux navires français, portugais et danois dans une « flotte » de coalition qui eût été sur mer l'équivalent de la Grande Armée sur terre. Enfin, l'on ignorait les expéditions russes dans l'Antarctique dues à l'impulsion de Traversay : c'est la principale révélation de ce livre.
Oublié de la presque totalité des dictionnaires, Traversay ne sera plus seulement un nom sur une carte géographique, Madeleine du Chatenet lui donne sa vraie place, celle de l'un des plus grands marins de la fin du XVIIIe siècle et du début du XIXe. Jean Tulard (extrait de la préface)
Sa réputation est si grande que Napoléon tente de le rappeler en France après la signature de la paix de Tilsit. L'empereur s'y connaît en homme : il demande à Traversay de dicter les conditions de son retour. Traversay refuse... Placé à la tête de la marine impériale, au lieu de Decrès, si critiqué, il eût certainement donné une impulsion nouvelle aux chantiers de construction et insufflé un esprit d'initiative à des amiraux devenus timorés depuis Trafalgar.
Napoléon regrettait la marine de Louis XVI. Traversay l'eût, peut-être, ressuscitée. Les apports du livre de Madeleine du Chatenet sont importants. Nul n'avait aussi clairement mis en évidence la volonté de Napoléon de joindre les vaisseaux russes aux navires français, portugais et danois dans une « flotte » de coalition qui eût été sur mer l'équivalent de la Grande Armée sur terre. Enfin, l'on ignorait les expéditions russes dans l'Antarctique dues à l'impulsion de Traversay : c'est la principale révélation de ce livre.
Oublié de la presque totalité des dictionnaires, Traversay ne sera plus seulement un nom sur une carte géographique, Madeleine du Chatenet lui donne sa vraie place, celle de l'un des plus grands marins de la fin du XVIIIe siècle et du début du XIXe. Jean Tulard (extrait de la préface)