L'ambivalence de la mère. Etude psychanalytique sur la position maternelle
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- Nombre de pages128
- FormatePub
- ISBN978-2-7492-2424-4
- EAN9782749224244
- Date de parution26/11/2012
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurErès
- PréfacierJean-Jacques Rassial
Résumé
Préface de Jean-Jacques Rassial Qu'est-ce que l'ambivalence ? Comment s'articulent l'amour et la haine d'un point de vue subjectif maternel ? Qu'est-ce qu'une mère ? Être mère consiste en partie à dissocier les registres du sexuel et du maternel à l'endroit de l'enfant. L'ambivalence maternelle n'est pas un accident de la relation de la mère à l'enfant mais une nécessité structurante dont le manque induit lui-même une pathologie.
La démarche clinique ne vise donc pas à « supprimer » l'ambivalence mais à en permettre une certaine reconnaissance, élaboration qui ferait qu'elle s'exerce de façon structurante pour la mère et l'enfant. L'ambivalence s'avérera « négative » ou « positive » ou encore la haine sera destructrice et mortifère, ou vitale et structurante. Cette haine, l'auteur en suppose l'origine du côté de la mère et non du côté de l'enfant.
À partir de là se pose la question de savoir se qui se noue psychiquement dans la relation d'une mère à son enfant et qui verra cette haine originaire se résoudre soit en haine vitale, c'est-à-dire se symboliser en amour maternel, soit en haine pathologique, c'est-à-dire évoluer dans le registre de l'abandon. Outre l'intérêt théorique, à l'intersection d'approches qu'on oppose à tort, celles de Winnicott, Klein, Dolto, Lacan, cet ouvrage apporte des éléments utiles non seulement à la psychothérapie des enfants tout-petits, mais aussi à l'intervention des professionnels (psychologues, sages-femmes, médecins, puéricultrices...) dans les services de maternité.
Michèle Benhaïm est psychanalyste à Marseille, professeur de psychopathologie à l'université de Provence.
La démarche clinique ne vise donc pas à « supprimer » l'ambivalence mais à en permettre une certaine reconnaissance, élaboration qui ferait qu'elle s'exerce de façon structurante pour la mère et l'enfant. L'ambivalence s'avérera « négative » ou « positive » ou encore la haine sera destructrice et mortifère, ou vitale et structurante. Cette haine, l'auteur en suppose l'origine du côté de la mère et non du côté de l'enfant.
À partir de là se pose la question de savoir se qui se noue psychiquement dans la relation d'une mère à son enfant et qui verra cette haine originaire se résoudre soit en haine vitale, c'est-à-dire se symboliser en amour maternel, soit en haine pathologique, c'est-à-dire évoluer dans le registre de l'abandon. Outre l'intérêt théorique, à l'intersection d'approches qu'on oppose à tort, celles de Winnicott, Klein, Dolto, Lacan, cet ouvrage apporte des éléments utiles non seulement à la psychothérapie des enfants tout-petits, mais aussi à l'intervention des professionnels (psychologues, sages-femmes, médecins, puéricultrices...) dans les services de maternité.
Michèle Benhaïm est psychanalyste à Marseille, professeur de psychopathologie à l'université de Provence.
Préface de Jean-Jacques Rassial Qu'est-ce que l'ambivalence ? Comment s'articulent l'amour et la haine d'un point de vue subjectif maternel ? Qu'est-ce qu'une mère ? Être mère consiste en partie à dissocier les registres du sexuel et du maternel à l'endroit de l'enfant. L'ambivalence maternelle n'est pas un accident de la relation de la mère à l'enfant mais une nécessité structurante dont le manque induit lui-même une pathologie.
La démarche clinique ne vise donc pas à « supprimer » l'ambivalence mais à en permettre une certaine reconnaissance, élaboration qui ferait qu'elle s'exerce de façon structurante pour la mère et l'enfant. L'ambivalence s'avérera « négative » ou « positive » ou encore la haine sera destructrice et mortifère, ou vitale et structurante. Cette haine, l'auteur en suppose l'origine du côté de la mère et non du côté de l'enfant.
À partir de là se pose la question de savoir se qui se noue psychiquement dans la relation d'une mère à son enfant et qui verra cette haine originaire se résoudre soit en haine vitale, c'est-à-dire se symboliser en amour maternel, soit en haine pathologique, c'est-à-dire évoluer dans le registre de l'abandon. Outre l'intérêt théorique, à l'intersection d'approches qu'on oppose à tort, celles de Winnicott, Klein, Dolto, Lacan, cet ouvrage apporte des éléments utiles non seulement à la psychothérapie des enfants tout-petits, mais aussi à l'intervention des professionnels (psychologues, sages-femmes, médecins, puéricultrices...) dans les services de maternité.
Michèle Benhaïm est psychanalyste à Marseille, professeur de psychopathologie à l'université de Provence.
La démarche clinique ne vise donc pas à « supprimer » l'ambivalence mais à en permettre une certaine reconnaissance, élaboration qui ferait qu'elle s'exerce de façon structurante pour la mère et l'enfant. L'ambivalence s'avérera « négative » ou « positive » ou encore la haine sera destructrice et mortifère, ou vitale et structurante. Cette haine, l'auteur en suppose l'origine du côté de la mère et non du côté de l'enfant.
À partir de là se pose la question de savoir se qui se noue psychiquement dans la relation d'une mère à son enfant et qui verra cette haine originaire se résoudre soit en haine vitale, c'est-à-dire se symboliser en amour maternel, soit en haine pathologique, c'est-à-dire évoluer dans le registre de l'abandon. Outre l'intérêt théorique, à l'intersection d'approches qu'on oppose à tort, celles de Winnicott, Klein, Dolto, Lacan, cet ouvrage apporte des éléments utiles non seulement à la psychothérapie des enfants tout-petits, mais aussi à l'intervention des professionnels (psychologues, sages-femmes, médecins, puéricultrices...) dans les services de maternité.
Michèle Benhaïm est psychanalyste à Marseille, professeur de psychopathologie à l'université de Provence.












