lien vers ma chronique: http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/lamant-de-lady-chatterley-de-d-h-lawrence/
Le mot de la fin : Un roman qui qui a choqué lors de sa sortie, situé dans son contexte c’est compréhensible, dans le nôtre cela me fait doucement rire. J’ai trouvé les réflexions de D.H Lawrence sur la société, sur l’amour, sur les classes très intéressantes et pertinentes. J’ai noté un nombre de pages incalculable dans mon petit carnet car j’aime ses tournures et ses développements. En revanche, parfois, j’ai cru que j’allais mourir de rire tellement les propos
changeaient du tout au tout passant du romantisme à l’érotisme provoquant sans transition et avec si peu de subtilité que j’ai vraiment beaucoup ri. On sent un homme derrière, un provocateur, mais surement pas un beau parleur :’)
Un grand roman d' amour
Ce roman passionnant de bout en bout est à la fois une critique virulente de l' humanité à l' ère industrielle et un splendide roman d'amour. Pour contrer les forces de l'argent et les envolées spirituelles souvent fumeuses, Lawrence montre l' érotisme comme moyen d'accomplissement. L'oubli de soi dans l' amour est désigné comme la seule transcendance proprement humaine.