L'agression : l'État - Giscard contre le secteur public
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- Nombre de pages338
- FormatePub
- ISBN2-307-31297-8
- EAN9782307312970
- Date de parution01/01/1980
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille993 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Club...
Résumé
Les Français ont vécu - depuis deux générations - sur la lancée des conquêtes de la République du Front populaire, de la Libération. Ils se sont habitués à une certaine manière de vivre, de travailler, de se soigner, de s'éduquer, de se cultiver... Aujourd'hui, ces acquis sont remis en cause. Le secteur public - bien de tous - est l'objet de l'agression de quelques-uns. Il faut prendre la mesure de l'offensive néo-libérale : "L'agression : l'État-Giscard contre le secteur public" est un constat en forme d'avertissement.
L'oligarchie au pouvoir préfère la régulation globale par les multinationales, à la dialectique de la démocratie. Avec l'État-Giscard, on est passé de la République des hauts-fonctionnaires à la République des affaires. La multinationalisation sauvage de l'économie et de la culture ébranle les fondements de la société française. Placé au cour de cette crise, le secteur public constitue l'enjeu d'un choix de civilisation : atomisation de la communauté nationale et exacerbation des inégalités, ou recomposition d'une société solidaire.
Le secteur public constitue un obstacle à cette fuite en avant. Aujourd'hui, il doit être défendu, en attendant le moment où, demain, il sera profondément transformé et démocratisé dans la perspective du Projet pour le socialisme des années 80.
L'oligarchie au pouvoir préfère la régulation globale par les multinationales, à la dialectique de la démocratie. Avec l'État-Giscard, on est passé de la République des hauts-fonctionnaires à la République des affaires. La multinationalisation sauvage de l'économie et de la culture ébranle les fondements de la société française. Placé au cour de cette crise, le secteur public constitue l'enjeu d'un choix de civilisation : atomisation de la communauté nationale et exacerbation des inégalités, ou recomposition d'une société solidaire.
Le secteur public constitue un obstacle à cette fuite en avant. Aujourd'hui, il doit être défendu, en attendant le moment où, demain, il sera profondément transformé et démocratisé dans la perspective du Projet pour le socialisme des années 80.
Les Français ont vécu - depuis deux générations - sur la lancée des conquêtes de la République du Front populaire, de la Libération. Ils se sont habitués à une certaine manière de vivre, de travailler, de se soigner, de s'éduquer, de se cultiver... Aujourd'hui, ces acquis sont remis en cause. Le secteur public - bien de tous - est l'objet de l'agression de quelques-uns. Il faut prendre la mesure de l'offensive néo-libérale : "L'agression : l'État-Giscard contre le secteur public" est un constat en forme d'avertissement.
L'oligarchie au pouvoir préfère la régulation globale par les multinationales, à la dialectique de la démocratie. Avec l'État-Giscard, on est passé de la République des hauts-fonctionnaires à la République des affaires. La multinationalisation sauvage de l'économie et de la culture ébranle les fondements de la société française. Placé au cour de cette crise, le secteur public constitue l'enjeu d'un choix de civilisation : atomisation de la communauté nationale et exacerbation des inégalités, ou recomposition d'une société solidaire.
Le secteur public constitue un obstacle à cette fuite en avant. Aujourd'hui, il doit être défendu, en attendant le moment où, demain, il sera profondément transformé et démocratisé dans la perspective du Projet pour le socialisme des années 80.
L'oligarchie au pouvoir préfère la régulation globale par les multinationales, à la dialectique de la démocratie. Avec l'État-Giscard, on est passé de la République des hauts-fonctionnaires à la République des affaires. La multinationalisation sauvage de l'économie et de la culture ébranle les fondements de la société française. Placé au cour de cette crise, le secteur public constitue l'enjeu d'un choix de civilisation : atomisation de la communauté nationale et exacerbation des inégalités, ou recomposition d'une société solidaire.
Le secteur public constitue un obstacle à cette fuite en avant. Aujourd'hui, il doit être défendu, en attendant le moment où, demain, il sera profondément transformé et démocratisé dans la perspective du Projet pour le socialisme des années 80.