L'âge du chant d'Asie, d'Amérique et d'ailleurs

Par : Marie-Edith Lande, Edgar Faure, Jean Orizet

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  • Nombre de pages180
  • FormatePub
  • ISBN2-7491-6331-5
  • EAN9782749163314
  • Date de parution01/01/1990
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille30 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurCherche midi (réédition numériqu...

Résumé

Dans ce premier livre de poèmes, Marie-Edith Lande a choisi de chanter le monde en faisant mine d'oublier l'âge de ce monde, ou plutôt en lui attribuant, selon sa propre formule, « le temps de plusieurs temps ». Elle renoue ainsi, par le lyrisme et l'ample mouvement du vers, avec une tradition multi-séculaire de la poésie-célébration qui, depuis les odes de Pindare et d'Horace jusqu'à celles de Victor Hugo et de Claudel, donne du souffle au verbe et de l'âme à l'inanimé.
Le poète est allé puiser dans les grands espaces d'Asie et des Amériques, dans les mégalopoles aussi, où sa vie l'a conduit, non pas l'inspiration (puisque, selon le mot d'Eluard, le poète est celui qui inspire plus que celui qui est inspiré), mais la respiration même de sa poésie, respiration profonde et généreuse qui est aussi celle de l'humaniste. Marie-Edith aime, en effet, le monde, les hommes et les femmes qui le peuplent.
Vision planétaire, donc, chez ce poète mais aussi ancrage dans une terre, un terroir, celui du Morvan où elle aime à se ressourcer. Telle est, multiple et une, le poète Marie-Edith Lande. Il est bon qu'elle ait enfin senti la nécessité de porter ses poèmes à la lumière ; la poésie a besoin, pour exister vraiment, de la respiration et du regard des autres. Elle est, ne l'oublions jamais, partage de l'essentiel.
Dans ce premier livre de poèmes, Marie-Edith Lande a choisi de chanter le monde en faisant mine d'oublier l'âge de ce monde, ou plutôt en lui attribuant, selon sa propre formule, « le temps de plusieurs temps ». Elle renoue ainsi, par le lyrisme et l'ample mouvement du vers, avec une tradition multi-séculaire de la poésie-célébration qui, depuis les odes de Pindare et d'Horace jusqu'à celles de Victor Hugo et de Claudel, donne du souffle au verbe et de l'âme à l'inanimé.
Le poète est allé puiser dans les grands espaces d'Asie et des Amériques, dans les mégalopoles aussi, où sa vie l'a conduit, non pas l'inspiration (puisque, selon le mot d'Eluard, le poète est celui qui inspire plus que celui qui est inspiré), mais la respiration même de sa poésie, respiration profonde et généreuse qui est aussi celle de l'humaniste. Marie-Edith aime, en effet, le monde, les hommes et les femmes qui le peuplent.
Vision planétaire, donc, chez ce poète mais aussi ancrage dans une terre, un terroir, celui du Morvan où elle aime à se ressourcer. Telle est, multiple et une, le poète Marie-Edith Lande. Il est bon qu'elle ait enfin senti la nécessité de porter ses poèmes à la lumière ; la poésie a besoin, pour exister vraiment, de la respiration et du regard des autres. Elle est, ne l'oublions jamais, partage de l'essentiel.