L'affaire Romand : Le narcissisme criminel. Approche psychologique
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- Nombre de pages102
- FormatPDF
- ISBN2-296-30941-0
- EAN9782296309418
- Date de parution01/02/2003
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille469 Ko
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le samedi 9 janvier 1993 au matin, à son domicile de Prévessin, un petit village de l'Ain, Jean-Claude ROMAND fracassait le crâne de son épouse à l'aide d'un rouleau à pâtisserie. Dans la même matinée, armé d'une carabine 22 long rifle, il abattait ses deux enfants, âgés de 7 et 5 ans. L'après-midi, il se rendait chez ses parents à Claivaux-les-lacs, et les tuait avec la même arme. Puis il gagnait la région parisienne où, dans la soirée, il tentait d'étrangler avec une cordelette une amie qui avait été sa maîtresse.
Rentré chez lui, après une journée de prostration, il absorbait des barbituriques et mettait le feu à sa maison. Depuis près de vingt années, il se faisait passer pour " le Docteur ROMAND, chercheur auprès de l'OMS à Genève ", alors que ses études s'étaient arrêtées en deuxième année de médecine, et qu'en fait il avait vécu - faisant miroiter à sa famille de juteux placements en Suisse -, sur l'argent de ses parents, de sa belle-famille et de son amie...
Au moment du drame il avait tout dépensé et était aux abois sur le plan financier. Après quatre autres psychiatres, les docteurs TOUTENU et SETTELEN ont été conjointement désignés comme experts par le Juge d'Instruction pour un ultime avis. Ils ont rencontré ROMAND en prison et ont bénéficié d'un large accès au dossier. Dans cet ouvrage, par petites touches, ils reconstruisent le puzzle, et montrent comment la pathologie de l'enfant Jean-Claude s'est trouvée induite par les exigences narcissiques de son entourage familial et scolaire.
Et comment, une fois adulte, ROMAND a poursuivi sur sa lancée, instrumentant, tout en en souffrant, l'aveuglement de son entourage.
Rentré chez lui, après une journée de prostration, il absorbait des barbituriques et mettait le feu à sa maison. Depuis près de vingt années, il se faisait passer pour " le Docteur ROMAND, chercheur auprès de l'OMS à Genève ", alors que ses études s'étaient arrêtées en deuxième année de médecine, et qu'en fait il avait vécu - faisant miroiter à sa famille de juteux placements en Suisse -, sur l'argent de ses parents, de sa belle-famille et de son amie...
Au moment du drame il avait tout dépensé et était aux abois sur le plan financier. Après quatre autres psychiatres, les docteurs TOUTENU et SETTELEN ont été conjointement désignés comme experts par le Juge d'Instruction pour un ultime avis. Ils ont rencontré ROMAND en prison et ont bénéficié d'un large accès au dossier. Dans cet ouvrage, par petites touches, ils reconstruisent le puzzle, et montrent comment la pathologie de l'enfant Jean-Claude s'est trouvée induite par les exigences narcissiques de son entourage familial et scolaire.
Et comment, une fois adulte, ROMAND a poursuivi sur sa lancée, instrumentant, tout en en souffrant, l'aveuglement de son entourage.
Le samedi 9 janvier 1993 au matin, à son domicile de Prévessin, un petit village de l'Ain, Jean-Claude ROMAND fracassait le crâne de son épouse à l'aide d'un rouleau à pâtisserie. Dans la même matinée, armé d'une carabine 22 long rifle, il abattait ses deux enfants, âgés de 7 et 5 ans. L'après-midi, il se rendait chez ses parents à Claivaux-les-lacs, et les tuait avec la même arme. Puis il gagnait la région parisienne où, dans la soirée, il tentait d'étrangler avec une cordelette une amie qui avait été sa maîtresse.
Rentré chez lui, après une journée de prostration, il absorbait des barbituriques et mettait le feu à sa maison. Depuis près de vingt années, il se faisait passer pour " le Docteur ROMAND, chercheur auprès de l'OMS à Genève ", alors que ses études s'étaient arrêtées en deuxième année de médecine, et qu'en fait il avait vécu - faisant miroiter à sa famille de juteux placements en Suisse -, sur l'argent de ses parents, de sa belle-famille et de son amie...
Au moment du drame il avait tout dépensé et était aux abois sur le plan financier. Après quatre autres psychiatres, les docteurs TOUTENU et SETTELEN ont été conjointement désignés comme experts par le Juge d'Instruction pour un ultime avis. Ils ont rencontré ROMAND en prison et ont bénéficié d'un large accès au dossier. Dans cet ouvrage, par petites touches, ils reconstruisent le puzzle, et montrent comment la pathologie de l'enfant Jean-Claude s'est trouvée induite par les exigences narcissiques de son entourage familial et scolaire.
Et comment, une fois adulte, ROMAND a poursuivi sur sa lancée, instrumentant, tout en en souffrant, l'aveuglement de son entourage.
Rentré chez lui, après une journée de prostration, il absorbait des barbituriques et mettait le feu à sa maison. Depuis près de vingt années, il se faisait passer pour " le Docteur ROMAND, chercheur auprès de l'OMS à Genève ", alors que ses études s'étaient arrêtées en deuxième année de médecine, et qu'en fait il avait vécu - faisant miroiter à sa famille de juteux placements en Suisse -, sur l'argent de ses parents, de sa belle-famille et de son amie...
Au moment du drame il avait tout dépensé et était aux abois sur le plan financier. Après quatre autres psychiatres, les docteurs TOUTENU et SETTELEN ont été conjointement désignés comme experts par le Juge d'Instruction pour un ultime avis. Ils ont rencontré ROMAND en prison et ont bénéficié d'un large accès au dossier. Dans cet ouvrage, par petites touches, ils reconstruisent le puzzle, et montrent comment la pathologie de l'enfant Jean-Claude s'est trouvée induite par les exigences narcissiques de son entourage familial et scolaire.
Et comment, une fois adulte, ROMAND a poursuivi sur sa lancée, instrumentant, tout en en souffrant, l'aveuglement de son entourage.