Dominique Maillard Desgrées du Loû est professeur de droit public à Université Paris Cité et membre du Centre Maurice Hauriou pour la recherche en droit public. Jean-Philippe Bras est professeur de droit public à l'Université de Rouen-Normandie et membre du Centre universitaire rouennais d'études juridiques. Contributeurs : Néji Baccouche, Mohammed Amine Benabdallah, Mourad Ben Jelloul, Jean-Philippe Bras, Souâd Ghaouti, Dominique Maillard Desgrées du Loû, Fouad Nohra, Frédéric Rouvillois, Farah Smiri, Michel Verpeaux, Abdelmadjid Yanat.
L'administration locale au Maghreb après les printemps arabes. Algérie, Maroc, Tunisie
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- Nombre de pages290
- FormatPDF
- ISBN978-2-14-028771-8
- EAN9782140287718
- Date de parution14/06/2023
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille7 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Un souffle de revendications est passé sur le monde arabe au début du vingt-et-unième siècle et s'est amplifié à partir de 2011, recevant l'appellation des « printemps arabes ». La période a été propice à d'importants changements constitutionnels dans les trois pays du Maghreb central, Algérie, Maroc et Tunisie. Les innovations proprement politiques et en matière de droits fondamentaux dans ces trois pays ont été largement analysées et commentées.
Mais qu'elles soient le fruit d'une révolution (Tunisie) ou qu'elles l'aient anticipée (Algérie, Maroc), les nouvelles constitutions ont également apporté à chacun de ces Etats de considérables réformes concernant l'administration des territoires. À leur tour, ces réformes en matière de structuration des territoires, de décentralisation et de démocratie locale demandaient à être exposées et interrogées.
Mais qu'elles soient le fruit d'une révolution (Tunisie) ou qu'elles l'aient anticipée (Algérie, Maroc), les nouvelles constitutions ont également apporté à chacun de ces Etats de considérables réformes concernant l'administration des territoires. À leur tour, ces réformes en matière de structuration des territoires, de décentralisation et de démocratie locale demandaient à être exposées et interrogées.
Un souffle de revendications est passé sur le monde arabe au début du vingt-et-unième siècle et s'est amplifié à partir de 2011, recevant l'appellation des « printemps arabes ». La période a été propice à d'importants changements constitutionnels dans les trois pays du Maghreb central, Algérie, Maroc et Tunisie. Les innovations proprement politiques et en matière de droits fondamentaux dans ces trois pays ont été largement analysées et commentées.
Mais qu'elles soient le fruit d'une révolution (Tunisie) ou qu'elles l'aient anticipée (Algérie, Maroc), les nouvelles constitutions ont également apporté à chacun de ces Etats de considérables réformes concernant l'administration des territoires. À leur tour, ces réformes en matière de structuration des territoires, de décentralisation et de démocratie locale demandaient à être exposées et interrogées.
Mais qu'elles soient le fruit d'une révolution (Tunisie) ou qu'elles l'aient anticipée (Algérie, Maroc), les nouvelles constitutions ont également apporté à chacun de ces Etats de considérables réformes concernant l'administration des territoires. À leur tour, ces réformes en matière de structuration des territoires, de décentralisation et de démocratie locale demandaient à être exposées et interrogées.