Journal de crise (1973-1984)
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- Nombre de pages400
- FormatePub
- ISBN10-376-1387-2
- EAN9791037613875
- Date de parution01/01/1984
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille768 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurJC Lattès (réédition numérique F...
Résumé
Ce journal de crise est un reportage sur l'histoire d'une prise de conscience. La prise de conscience, par l'opinion publique, que la société traverse une transformation en profondeur, que l'on appelle la crise, faute d'un autre mot pour la définir. Jean Boissonnat a rencontré la plupart des dirigeants français, hommes politiques, patrons, syndicalistes ; il met le lecteur dans le secret de leurs confidences.
Il a voyagé dans quelques-uns des pays où un nouveau monde se cherche, des États-Unis au Japon, en passant par la Chine. Il a rassemblé ici les notes prises à l'occasion de ces rencontres et de ces voyages, ainsi que les réflexions personnelles qu'ils lui ont inspirées. De façon vivante, on pénètre les rouages de l'économie, on mesure l'évolution des mentalités et des forces sociales, on observe les comportements, parfois étranges, des responsables.
L'auteur explique comment les leaders de la Droite, en France, ont davantage manqué de courage que de lucidité ; ceux de la Gauche, de clairvoyance que de détermination. La crise n'est pas la fin de la croissance ; mais même une reprise durable de celle-ci ne mettrait pas fin à la crise. Le changement et le désordre sont inhérents à cette société. Un système de régulation doit être reconstruit par des hommes et des femmes qui investissent beaucoup moins dans les valeurs politiques, et davantage dans les préoccupations personnelles.
Ce qui pose le problème des nouvelles solidarités. Ce n'est pas parce que les sociétés humaines ont tous les moyens de surmonter des crises, qu'elles le feront à coup sûr. L'humanité n'a pas fini de se surprendre.
Il a voyagé dans quelques-uns des pays où un nouveau monde se cherche, des États-Unis au Japon, en passant par la Chine. Il a rassemblé ici les notes prises à l'occasion de ces rencontres et de ces voyages, ainsi que les réflexions personnelles qu'ils lui ont inspirées. De façon vivante, on pénètre les rouages de l'économie, on mesure l'évolution des mentalités et des forces sociales, on observe les comportements, parfois étranges, des responsables.
L'auteur explique comment les leaders de la Droite, en France, ont davantage manqué de courage que de lucidité ; ceux de la Gauche, de clairvoyance que de détermination. La crise n'est pas la fin de la croissance ; mais même une reprise durable de celle-ci ne mettrait pas fin à la crise. Le changement et le désordre sont inhérents à cette société. Un système de régulation doit être reconstruit par des hommes et des femmes qui investissent beaucoup moins dans les valeurs politiques, et davantage dans les préoccupations personnelles.
Ce qui pose le problème des nouvelles solidarités. Ce n'est pas parce que les sociétés humaines ont tous les moyens de surmonter des crises, qu'elles le feront à coup sûr. L'humanité n'a pas fini de se surprendre.
Ce journal de crise est un reportage sur l'histoire d'une prise de conscience. La prise de conscience, par l'opinion publique, que la société traverse une transformation en profondeur, que l'on appelle la crise, faute d'un autre mot pour la définir. Jean Boissonnat a rencontré la plupart des dirigeants français, hommes politiques, patrons, syndicalistes ; il met le lecteur dans le secret de leurs confidences.
Il a voyagé dans quelques-uns des pays où un nouveau monde se cherche, des États-Unis au Japon, en passant par la Chine. Il a rassemblé ici les notes prises à l'occasion de ces rencontres et de ces voyages, ainsi que les réflexions personnelles qu'ils lui ont inspirées. De façon vivante, on pénètre les rouages de l'économie, on mesure l'évolution des mentalités et des forces sociales, on observe les comportements, parfois étranges, des responsables.
L'auteur explique comment les leaders de la Droite, en France, ont davantage manqué de courage que de lucidité ; ceux de la Gauche, de clairvoyance que de détermination. La crise n'est pas la fin de la croissance ; mais même une reprise durable de celle-ci ne mettrait pas fin à la crise. Le changement et le désordre sont inhérents à cette société. Un système de régulation doit être reconstruit par des hommes et des femmes qui investissent beaucoup moins dans les valeurs politiques, et davantage dans les préoccupations personnelles.
Ce qui pose le problème des nouvelles solidarités. Ce n'est pas parce que les sociétés humaines ont tous les moyens de surmonter des crises, qu'elles le feront à coup sûr. L'humanité n'a pas fini de se surprendre.
Il a voyagé dans quelques-uns des pays où un nouveau monde se cherche, des États-Unis au Japon, en passant par la Chine. Il a rassemblé ici les notes prises à l'occasion de ces rencontres et de ces voyages, ainsi que les réflexions personnelles qu'ils lui ont inspirées. De façon vivante, on pénètre les rouages de l'économie, on mesure l'évolution des mentalités et des forces sociales, on observe les comportements, parfois étranges, des responsables.
L'auteur explique comment les leaders de la Droite, en France, ont davantage manqué de courage que de lucidité ; ceux de la Gauche, de clairvoyance que de détermination. La crise n'est pas la fin de la croissance ; mais même une reprise durable de celle-ci ne mettrait pas fin à la crise. Le changement et le désordre sont inhérents à cette société. Un système de régulation doit être reconstruit par des hommes et des femmes qui investissent beaucoup moins dans les valeurs politiques, et davantage dans les préoccupations personnelles.
Ce qui pose le problème des nouvelles solidarités. Ce n'est pas parce que les sociétés humaines ont tous les moyens de surmonter des crises, qu'elles le feront à coup sûr. L'humanité n'a pas fini de se surprendre.