Journal d'un Bordelais, 1995-1996
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- Nombre de pages237
- FormatePub
- ISBN2-402-14564-1
- EAN9782402145640
- Date de parution01/01/1996
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille481 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Moll...
Résumé
Pendant treize mois, à cheval sur les années 1995-1996, Henri de Grandmaison a tenu son Journal d'un Bordelais, qui n'est pas daté mais titré à la manière des chroniques du XIXe siècle. Cette formule d'écriture, qui convient à son plaisir du vagabondage, lui permet d'aborder les sujets les plus divers, sur la presqu'île d'Ambès, la misère, les sectes, la politique, l'état de la société française, la responsabilité des journalistes, l'affaire Papon, la Libération, l'honneur, l'Église, la « transparence », Hersant dit le « papivore », la mort de Mitterrand, et cent autres thèmes abordés au fil de l'actualité locale et nationale.
Après « Je t'écris de Bordeaux », qui dressait un état des lieux de la ville et dessinait un portrait de la cité au bord de l'eau et de ses habitants, Henri de Grandmaison prolonge dans ces pages la découverte d'une cité à laquelle il s'est attaché, qu'il aime regarder vivre, mais dont il craint les charmes lénitifs : la tentation du confinement est grande sur le sein de cette vieille séductrice de Burdigala ! Pour ne pas succomber aux chants des sirènes qui peuplent la « rivière », l'écrivain, de temps à autre, quitte le port et prend le large : il sait qu'aucun regard sur notre époque, si limité soit-il, ne peut se passer de la double tension de la ville où nous vivons et du monde dont nous vivons.
Après « Je t'écris de Bordeaux », qui dressait un état des lieux de la ville et dessinait un portrait de la cité au bord de l'eau et de ses habitants, Henri de Grandmaison prolonge dans ces pages la découverte d'une cité à laquelle il s'est attaché, qu'il aime regarder vivre, mais dont il craint les charmes lénitifs : la tentation du confinement est grande sur le sein de cette vieille séductrice de Burdigala ! Pour ne pas succomber aux chants des sirènes qui peuplent la « rivière », l'écrivain, de temps à autre, quitte le port et prend le large : il sait qu'aucun regard sur notre époque, si limité soit-il, ne peut se passer de la double tension de la ville où nous vivons et du monde dont nous vivons.
Pendant treize mois, à cheval sur les années 1995-1996, Henri de Grandmaison a tenu son Journal d'un Bordelais, qui n'est pas daté mais titré à la manière des chroniques du XIXe siècle. Cette formule d'écriture, qui convient à son plaisir du vagabondage, lui permet d'aborder les sujets les plus divers, sur la presqu'île d'Ambès, la misère, les sectes, la politique, l'état de la société française, la responsabilité des journalistes, l'affaire Papon, la Libération, l'honneur, l'Église, la « transparence », Hersant dit le « papivore », la mort de Mitterrand, et cent autres thèmes abordés au fil de l'actualité locale et nationale.
Après « Je t'écris de Bordeaux », qui dressait un état des lieux de la ville et dessinait un portrait de la cité au bord de l'eau et de ses habitants, Henri de Grandmaison prolonge dans ces pages la découverte d'une cité à laquelle il s'est attaché, qu'il aime regarder vivre, mais dont il craint les charmes lénitifs : la tentation du confinement est grande sur le sein de cette vieille séductrice de Burdigala ! Pour ne pas succomber aux chants des sirènes qui peuplent la « rivière », l'écrivain, de temps à autre, quitte le port et prend le large : il sait qu'aucun regard sur notre époque, si limité soit-il, ne peut se passer de la double tension de la ville où nous vivons et du monde dont nous vivons.
Après « Je t'écris de Bordeaux », qui dressait un état des lieux de la ville et dessinait un portrait de la cité au bord de l'eau et de ses habitants, Henri de Grandmaison prolonge dans ces pages la découverte d'une cité à laquelle il s'est attaché, qu'il aime regarder vivre, mais dont il craint les charmes lénitifs : la tentation du confinement est grande sur le sein de cette vieille séductrice de Burdigala ! Pour ne pas succomber aux chants des sirènes qui peuplent la « rivière », l'écrivain, de temps à autre, quitte le port et prend le large : il sait qu'aucun regard sur notre époque, si limité soit-il, ne peut se passer de la double tension de la ville où nous vivons et du monde dont nous vivons.