Jouer sa vie en jouant aux échecs. Essai sur la symbolique du jeu d’échecs dans la littérature, l’art, la poésie et le cinéma
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- Nombre de pages100
- FormatPDF
- ISBN978-2-7637-5521-2
- EAN9782763755212
- Date de parution26/08/2021
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurPRESSES DE L'UNIVERSITÉ LAVAL
Résumé
Ce ne sont pas les poètes qui deviennent fous
Ce sont les joueurs d'échecs
Chesterton
Quelle est la quête symbolisée par le jeu d'échecs? Quels liens pouvons-nous établir entre Beth Harmon de la récente série télévisée The Queen's Gambit et des personnages littéraires comme Loujine ou Monsieur B., de Nabokov ou Stefan Zweig?
Les joueurs d'échecs sont-ils des fous de Dieu, des mystiques de l'absolu? Veulent-ils s'affranchir des limites imparties à la condition humaine et s'élever à un niveau de calcul surhumain, comme s'ils étaient dotés de l'omniscience?
Dans cet essai, l'auteur se propose de revisiter un certain nombre d'ouvres littéraires et artistiques qui mettent en scène le jeu d'échecs.
Il part de l'hypothèse chère à Borgès selon laquelle les échecs sont un petit théâtre reproduisant le drame cosmique, où l'être humain, même surdoué, se brûle les ailes dans son désir de perfection.
Il part de l'hypothèse chère à Borgès selon laquelle les échecs sont un petit théâtre reproduisant le drame cosmique, où l'être humain, même surdoué, se brûle les ailes dans son désir de perfection.
Ce ne sont pas les poètes qui deviennent fous
Ce sont les joueurs d'échecs
Chesterton
Quelle est la quête symbolisée par le jeu d'échecs? Quels liens pouvons-nous établir entre Beth Harmon de la récente série télévisée The Queen's Gambit et des personnages littéraires comme Loujine ou Monsieur B., de Nabokov ou Stefan Zweig?
Les joueurs d'échecs sont-ils des fous de Dieu, des mystiques de l'absolu? Veulent-ils s'affranchir des limites imparties à la condition humaine et s'élever à un niveau de calcul surhumain, comme s'ils étaient dotés de l'omniscience?
Dans cet essai, l'auteur se propose de revisiter un certain nombre d'ouvres littéraires et artistiques qui mettent en scène le jeu d'échecs.
Il part de l'hypothèse chère à Borgès selon laquelle les échecs sont un petit théâtre reproduisant le drame cosmique, où l'être humain, même surdoué, se brûle les ailes dans son désir de perfection.
Il part de l'hypothèse chère à Borgès selon laquelle les échecs sont un petit théâtre reproduisant le drame cosmique, où l'être humain, même surdoué, se brûle les ailes dans son désir de perfection.