Jésus, le révolutionnaire !. Une condamnation politiquement correcte

Par : Leão Da Silva

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages296
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-18243-1
  • EAN9782296182431
  • Date de parution05/12/2008
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille13 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierRoger Morelle

Résumé

Essai sur les racines bibliques du système capitaliste, cet ouvrage s'intéresse à la culture judéo-catholique et à sa gestion du monde. Fils d'érudits, intégré au catholicisme portugais par sa famille, l'auteur décide de s'affranchir de toute culpabilité, notamment en bousculant l'ordre établi de l'histoire religieuse. "Jésus, le révolutionnaire !" symbolise sa révolte. L'exécution de Jésus y est en effet présentée comme un banal assassinat politique, lié entre autres aux motifs sordides de l'argent.
Essai sur les racines bibliques du système capitaliste, cet ouvrage s'intéresse à la culture judéo-catholique et à sa gestion du monde. Fils d'érudits, intégré au catholicisme portugais par sa famille, l'auteur décide de s'affranchir de toute culpabilité, notamment en bousculant l'ordre établi de l'histoire religieuse. "Jésus, le révolutionnaire !" symbolise sa révolte. L'exécution de Jésus y est en effet présentée comme un banal assassinat politique, lié entre autres aux motifs sordides de l'argent.