Jésus a-t-il eu une vraie enfance ?. L'art chrétien en procès
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- FormatePub
- ISBN978-2-204-10858-4
- EAN9782204108584
- Date de parution16/03/2016
- Protection num.Adobe DRM
- Taille11 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEditions du Cerf
Résumé
Jésus de Nazareth, Dieu fait homme, a-t-il eu l'enfance d'un petit d'homme ? A-t-il dû apprendre à marcher, à lire et à écrire, à compter et à prier, a-t-il désobéi à ses parents, été corrigé par ses maîtres, ou bien a-t-il toutsu dès sa naissance ? Les évangiles canoniques n'en disent rien, les textes apocryphes fournissent des réponses peu crédibles, et le magistère de l'Église ne se prononce guère à ce sujet.
Les peintres eurent donc carte blanche, surtout en Occident. L'auteur les interroge longuement, et classe leursoeuvres. Les uns montrent un enfant qui n'en est pas un, un adulte en réduction. D'autres, plus rares, s'aventurent à décrire Jésus passant par des apprentissages. D'autres encore, finalement nombreux, l'imaginent comme un enfant ordinaire mais doté dès son plus jeune âge de visions prémonitoires sur ce qui l'attend, la mort en croix.
Au total, cette enquête novatrice établit que bien peu d'artistes ont attribué à Jésus une enfance véritable, comme si elle lui avait été dérobée par sa divinité. La peinture religieuse serait-elle innocemment hérétique ?L'imagination et le dogme, en tout cas, ne marchent pas toujours main dans la main.Théologien, historien des religions et historien de l'art, François Boespflug est l'auteur de nombreux ouvrages sur les rapports entre les monothéismes abrahamiques et les beaux-arts.
Les peintres eurent donc carte blanche, surtout en Occident. L'auteur les interroge longuement, et classe leursoeuvres. Les uns montrent un enfant qui n'en est pas un, un adulte en réduction. D'autres, plus rares, s'aventurent à décrire Jésus passant par des apprentissages. D'autres encore, finalement nombreux, l'imaginent comme un enfant ordinaire mais doté dès son plus jeune âge de visions prémonitoires sur ce qui l'attend, la mort en croix.
Au total, cette enquête novatrice établit que bien peu d'artistes ont attribué à Jésus une enfance véritable, comme si elle lui avait été dérobée par sa divinité. La peinture religieuse serait-elle innocemment hérétique ?L'imagination et le dogme, en tout cas, ne marchent pas toujours main dans la main.Théologien, historien des religions et historien de l'art, François Boespflug est l'auteur de nombreux ouvrages sur les rapports entre les monothéismes abrahamiques et les beaux-arts.
Jésus de Nazareth, Dieu fait homme, a-t-il eu l'enfance d'un petit d'homme ? A-t-il dû apprendre à marcher, à lire et à écrire, à compter et à prier, a-t-il désobéi à ses parents, été corrigé par ses maîtres, ou bien a-t-il toutsu dès sa naissance ? Les évangiles canoniques n'en disent rien, les textes apocryphes fournissent des réponses peu crédibles, et le magistère de l'Église ne se prononce guère à ce sujet.
Les peintres eurent donc carte blanche, surtout en Occident. L'auteur les interroge longuement, et classe leursoeuvres. Les uns montrent un enfant qui n'en est pas un, un adulte en réduction. D'autres, plus rares, s'aventurent à décrire Jésus passant par des apprentissages. D'autres encore, finalement nombreux, l'imaginent comme un enfant ordinaire mais doté dès son plus jeune âge de visions prémonitoires sur ce qui l'attend, la mort en croix.
Au total, cette enquête novatrice établit que bien peu d'artistes ont attribué à Jésus une enfance véritable, comme si elle lui avait été dérobée par sa divinité. La peinture religieuse serait-elle innocemment hérétique ?L'imagination et le dogme, en tout cas, ne marchent pas toujours main dans la main.Théologien, historien des religions et historien de l'art, François Boespflug est l'auteur de nombreux ouvrages sur les rapports entre les monothéismes abrahamiques et les beaux-arts.
Les peintres eurent donc carte blanche, surtout en Occident. L'auteur les interroge longuement, et classe leursoeuvres. Les uns montrent un enfant qui n'en est pas un, un adulte en réduction. D'autres, plus rares, s'aventurent à décrire Jésus passant par des apprentissages. D'autres encore, finalement nombreux, l'imaginent comme un enfant ordinaire mais doté dès son plus jeune âge de visions prémonitoires sur ce qui l'attend, la mort en croix.
Au total, cette enquête novatrice établit que bien peu d'artistes ont attribué à Jésus une enfance véritable, comme si elle lui avait été dérobée par sa divinité. La peinture religieuse serait-elle innocemment hérétique ?L'imagination et le dogme, en tout cas, ne marchent pas toujours main dans la main.Théologien, historien des religions et historien de l'art, François Boespflug est l'auteur de nombreux ouvrages sur les rapports entre les monothéismes abrahamiques et les beaux-arts.