Jérômiades. Problèmes linguistiques de la traduction, II

Par : Jean-Claude Chevalier, Marie-France Delport

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  • Nombre de pages276
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-44910-7
  • EAN9782296449107
  • Date de parution01/11/2010
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille4 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Le volume qu'on va lire est la suite naturelle de L'Horlogerie de saint Jérôme. Il l'annonce par son sous-titre : Problèmes linguistiques de la traduction, Il, et s'en sépare par son titre, Jérômiades. Si l'on a tenu tout à la fois à cette identité et à cette distinction, c'est pour l'idée toute simple qu'on retrouvera ici à l'oeuvre les principes et les concepts de l'ouvrage antérieur, mais appliqués, étendus à des cas nouveaux qui ont pour fonction de les éprouver.
Deux notions principalement étalent dégagées dans L'Horlogerie de saint Jérôme. Dégagées, éclairées et illustrées par une longue série d'exemples. Les " figures de traduction ", d'abord, y paraissaient comme des opérations attachées à l'acte de traduire, tout ensemble libres et obligées, récurrentes et prévisibles. " L'orthonymte ", d'autre part, c'est-à-dire la façon de dire la plus spontanée et la plus usuelle, en était le moteur profond et le plus fréquent.
Les langues en jeu enfin - à la source et à l'arrivée -, les oeuvres en cause et les traducteurs à la tâche y entraient pour peu : les " figures " et l'orthonymie, invariablement, intervenaient et pesaient de tout leur poids. Restait à observer ce qu'il en était des unes et de l'autre dans quelques situations particulières : dans les traductions explicitement " révisées ", dans celles des textes anciens, dans le rapport des brouillons de l'original à ses traductions, etc.
Le volume qu'on va lire est la suite naturelle de L'Horlogerie de saint Jérôme. Il l'annonce par son sous-titre : Problèmes linguistiques de la traduction, Il, et s'en sépare par son titre, Jérômiades. Si l'on a tenu tout à la fois à cette identité et à cette distinction, c'est pour l'idée toute simple qu'on retrouvera ici à l'oeuvre les principes et les concepts de l'ouvrage antérieur, mais appliqués, étendus à des cas nouveaux qui ont pour fonction de les éprouver.
Deux notions principalement étalent dégagées dans L'Horlogerie de saint Jérôme. Dégagées, éclairées et illustrées par une longue série d'exemples. Les " figures de traduction ", d'abord, y paraissaient comme des opérations attachées à l'acte de traduire, tout ensemble libres et obligées, récurrentes et prévisibles. " L'orthonymte ", d'autre part, c'est-à-dire la façon de dire la plus spontanée et la plus usuelle, en était le moteur profond et le plus fréquent.
Les langues en jeu enfin - à la source et à l'arrivée -, les oeuvres en cause et les traducteurs à la tâche y entraient pour peu : les " figures " et l'orthonymie, invariablement, intervenaient et pesaient de tout leur poids. Restait à observer ce qu'il en était des unes et de l'autre dans quelques situations particulières : dans les traductions explicitement " révisées ", dans celles des textes anciens, dans le rapport des brouillons de l'original à ses traductions, etc.