Jérôme K. Jérôme Bloche - Tome 1 - L'ombre qui tue - Réédition - E-book - Epub fixed layout

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Résumé

Paris tremble. Une inflation de fléchettes empoisonnées fait monter le cours de la mort. Désuet peut-être, à l'ère des frappes chirurgicales, mais d'une efficacité garantie. Le tueur ne manque pas de panache : des témoins ont aperçu une ombre emplumée, sarbacane en bataille. Avec ça, doté d'une stupéfiante agilité : il se fond dans la nuit comme le sucre dans un café noir. Démasquer ce flamboyant assassin, tel est le devoir de vacances confié à Jérôme K.
Jérôme Bloche par le professeur Maison, fondateur d'un cours de détective par correspondance. Les travaux pratiques commencent mal : Maison meurt, victime de la pluie de fléchettes qui empoisonnent l'atmosphère de la capitale française. Au seuil de la mort, le professeur fait part de ses soupçons à Jérôme, arrivé trop tard pour empêcher le coup fatal : le coupable est un des élèves du cours par correspondance ! L'ombre qui tue prend corps ; Jérôme se jure de lui donner un visage.
À condition de ne pas oublier une règle fondamentale : c'est méchant, une ombre aux abois.

Caractéristiques

  • Caractéristiques du format Epub fixed layout
    • Taille
      37 038 Ko
    • Protection num.
      Digital Watermarking

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À propos des auteurs

Né à Vincennes le 1er décembre 1946, Serge Le Tendre découvre au début des années 70, après quelques modestes travaux d'illustration, qu'il est définitivement meilleur scénariste que dessinateur. Ses très nombreux futurs lecteurs lui donneront ô combien raison, ce qui lui permettra d'abandonner sans trop de peine cette profession longtemps fantasmée. À l'aise dans ses habits de scénariste tout neufs, Le Tendre multiplie dès lors les histoires courtes dans la presse, que ce soit chez Pilote, Mormoil, Tousse-bourin, Antirouille, Fluide glacial, Métal Hurlant, Formule 1, Fripounet ou encore Circus, s'offrant pour s'exprimer la patte de Dominique Hé, Annie Goetzinger, Alain Voss, Michel Rouge, Loisel, Max Cabanes, Michel Blanc-Dumont et bien d'autres. C'est dans les années 80 que ce long apprentissage porte ses fruits avec « La Quête de l'oiseau du temps » (Dargaud), illustrée par Régis Loisel, qui lui vaut très vite un important succès populaire, propulsant Pelisse et Bragon au rang d'icônes de la bande dessinée moderne.
4 tomes constituent le cycle premier (1983-1987) avant que celui-ci ne soit poursuivi (à partir de 1998) par le cycle « Avant la Quête », illustré par Lidwine, Mohamed Aouamri, Vincent Mallié puis David Etien. Le tome 1, L'ami Javin, reçoit en 1999 un Alph-art 9-12 ans au festival d'Angoulême. Un beau-livre - En quête de l'Oiseau du Temps (entretiens avec Christelle et Bertrand Pissavy-Yvernault) - vient célébrer cette belle réussite éditoriale. C'est également dans les années 80 que Le Tendre lance, avec Dodier et Makyo, les premiers épisodes de « Jérôme K.
Jérôme Bloche », chez Dupuis. On lui doit ensuite les troublantes « Errances de Julius Antoine » (1985-1989) avec Christian Rossi ainsi que « Takuan » avec Simeoni, puis TaDuc. Il démarre pendant la même période, avec Rodolphe, la saga « Taï-Dor », paraissant chez Novedi puis Vents d'Ouest, sur un dessin de Serrano puis Foccroule. Parallèlement, Le Tendre travaille beaucoup pour la presse, que ce soit dans Astrapi, L'écho des savanes, Je bouquine, Pilote-Charlie ou encore Okapi... En 1992, Le Tendre est accueilli dans la prestigieuse collection Aire Libre avec L'Oiseau noir, illustré par Jean-Paul Dethorey, qui lui vaut à nouveau une belle reconnaissance.
S'ensuivent les 4 tomes de « Labyrinthes », réalisés chez Glénat avec Dieter et Pendanx(1993-1997). A partir de 1996, Le Tendre s'attaque à une étourdissante relecture de grandes légendes antiques, qu'il confronte à leur réalité de drame et de violence. La Gloire d'Héra puis Tirésias, dessinés par Christian Rossi, deviennent mythiques en plus d'être mythologiques. Il retrouve ensuite TaDuc, avec qui il crée « Chinaman », western mettant en scène un inattendu héros asiatique.
La série, célébrée par la critique et les lecteurs, paraît d'abord aux Humanoïdes associés avant d'arriver chez Dupuis. En 2000, Le Tendre revient là où ne l'attend pas avec « L'histoire de Siloë », une remarquable trilogie d'anticipation mise en images par Stéphane Servain (Delcourt). En 2004, « Le Livre des destins », oeuvre inclassable mêlant polar, onirisme et récit super-héroïque, permet à Le Tendre et à Franck Biancarelli de rendre hommage à tous les imaginaires, qu'ils soient littéraires ou cinématographiques (5 tomes, Soleil).
En 2008, Le Tendre participe au collectif Paroles d'étoiles (Soleil), célébrant le courage des enfants juifs et de ceux qui les cachèrent pendant la seconde guerre mondiale. En 2012, il s'associe à Jérôme Lereculey afin de revisiter la Grèce antique dans « Golias », superbe saga d'aventure et de jeux de pouvoir. En 2013, Le Tendre et TaDuc reviennent avec une grande saga d'heroic fantasy Asiatique.
Son héroïne-titre - Griffe blanche - crève l'écran (ainsi que pas mal d'ennemis). Amoureux des romans de David S. Khara, Le Tendre décide de les transposer en bande dessinée chez Dargaud, en compagnie de Frédéric Peynet. Le diptyque vampirique Les Vestiges de l'aube paraît entre 2014 et 2015, suivi par les trois tomes du « Projet Bleiberg », entre 2017 et 2019. Le Tendre publie également durant cette période le premier tome de la collection « J'ai tué » (Vents d'ouest) avec Abel, mis en images par Guillaume Sorel.
Toujours avide d'expériences nouvelles, Le Tendre rejoint ensuite les toutes jeunes Éditions Drakoo, où il signe la série « Terence Trolley », sur un dessin de Patrick Boutin-Gagné. En 2020, Serge Le Tendre et TaDuc offrent aux Éditions Dupuis un splendide Aire Libre: Le réveil du tigre, ou le dernier combat de leur emblématique Chinaman. Scénariste de la mythique « Quête de l'Oiseau du temps » (avec Régis Loisel) Serge Le Tendre fait partie de ces rares auteurs capables de (re)visiter avec bonheur tous les univers auxquels il s'attaque.
Que ce soit en appuyant son western sur un inattendu héros asiatique (« Chinaman »), en réalisant une autobiographie déguisée (« Les errances de Julius-Antoine »), en confrontant les mythes antiques à leur violence (La gloire d'Héra et Tirésias) ou en rendant onirique le polar, genre le plus terre-à-terre qui soit (« Le livre des destins »), Le Tendre est toujours là où on le souhaiterait. Mais jamais comme on l'attend ! Né le 16 juillet 1952 à Dunkerque, Pierre Fournier, dit Makyo, fait son premier essai dans la "Carte Blanche" de SPIROU sous le pseudonyme de "Mohat", puis entre chez PISTIL en 1978 où il signe de son vrai nom "Les Polluks" et "Madame Colzako".
Dans MERCREDI, il publie les premières versions de "Gully" (dessiné par Dodier) et des "Bogros", qui poursuivront ensuite leur brève carrière chez SPIROU. Il adopte le pseudonyme définitif de Makyo pour présenter en 1983 "Le Roi Rodonnal", une fantaisie inspirée par le classique "Little Nemo", et scénarise quelques épisodes de "Jérôme K. Jérôme Bloche" pour son ami et presque voisin Alain Dodier.
Pour GOMME, puis CIRCUS, il conçoit le texte de "La Balade au bout du Monde", une saga fantastique mise en images par Laurent Vicomte, puis Eric Herenguel. Toujours pour le compte des Éditions Glénat, mais cette fois en auteur complet, il entreprend "Grimion Gant-de-cuir" en 1983. Très sollicité comme scénariste, il propose en 1990 "Le cycle des deux horizons", une trilogie dessinée par Christian Rossi et éditée chez Delcourt.
En 1994, il lance chez Glénat "Le Jeu de Pourpre", une nouvelle série mise en scène par Bruno Rocco. Un an plus tard, il s'associe avec l'illustrateur René Follet et rédige "Ikar", avant d'imaginer "Elsa" pour Michel Faure. Il reviendra au dessin pour la prestigieuse collection "Aire Libre" où ses deux volumes du "Coeur en Islande" évoquent les pêcheurs d'autrefois et les histoires qu'il écoutait à la veillée, lorsqu'il était petit.
Que ce soit comme auteur complet ou simple scénariste, Makyo aime varier les thèmes et renouveler ses plaisirs de fin conteur, attaché à la psychologie de ses personnages. Du policier à la chronique paysanne, du fantastique à l'humour, son oeuvre se révèle en tout point personnelle et témoigne d'une imagination débridée. Né à Dunkerque le 2 mai 1955, Alain Dodier ne garde aucun souvenir d'une époque où la bande dessinée n'aurait rien représenté pour lui.
Tout petit déjà, il s'entraîne à reproduire les personnages du JOURNAL DE MICKEY, avant d'avoir accès à une bibliothèque bourrée de bandes dessinées où il passe des journées à tout dévorer. Ses meilleurs copains s'appellent alors Gaston ou Lucky Luke. Très vite, il soumet tout à sa passion. À six mois du bac, il abandonne le lycée et profite des quelques semaines qui le séparent de l'examen pour dessiner intensivement ! Il ne sera pas bachelier, mais auteur de bande dessinée.
Ses premières planches paraissent dans le fanzine FALATOFF en 1973, puis dans la "Carte Blanche" de SPIROU. Pour vivre, il devient facteur auxiliaire : il faut se lever tôt, mais ça laisse du temps pour dessiner. C'est dans PISTIL, magazine écologiste, qu'il débute comme professionnel avec des gags animaliers ("Marty et Titine") et une série policière ("Janotus, agent spécial"). Son association avec Makyo - un presque voisin - donne naissance à deux séries : le fantaisiste "Gully" et, dans un registre plus réaliste, "Jérôme K.
Jérôme Bloche" en 1982. Serge Le Tendre se joint à eux pour conter les premières aventures de ce dernier. Une fois l'univers de Jérôme bien en main, Dodier devient auteur complet d'une série dont le personnage ressemble de plus en plus à son père spirituel. Ils font chaque jour leur footing sur la même plage de Malo-les-Bains ! Dodier est un admirateur d'Humphrey Bogart et de Robert Mitchum, Jérôme exerce donc la profession de détective privé.
Engoncé dans un vieil imperméable, coiffé de l'indispensable feutre, il tente, tant que faire se peut, de résoudre des énigmes toujours passablement embrouillées. Circulant sur un solex, cet amateur de café au lait et de tartines beurrées souffre d'une distraction rare et n'offre que de lointains rapports avec ses illustres prédécesseurs. Heureusement, Babette, sa fiancée, veille. Cette énergique jeune fille joue les anges gardiens auprès du lunaire Jérôme.
À l'opposé des "Supermen" de l'investigation, Jérôme K. Jérôme Bloche pratique un humour tendre et n'aspire qu'à la tranquillité : le comble pour un privé.

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