Jean-Henri Fabre et Louis Pasteur. Conversation au bord de la Sorgue

Par : Yves Delange

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  • Nombre de pages86
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-45979-3
  • EAN9782296459793
  • Date de parution01/05/2011
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierRichard Moreau

Résumé

En 1865, par une chaude journée d'été, Louis Pasteur se rendit chez Jean-Henri Fabre à Avignon. Une maladie, la pébrine, ravageait les élevages de vers à soie dans le Midi de la France et le chimiste venait s'informer auprès du célèbre entomologiste. Au cours de la conversation, il fut question des moeurs des insectes mais aussi, l'auteur qui a approfondi leurs oeuvres en est convaincu, de bien d'autres sujets tels que les vicissitudes de l'enseignement et de la recherche scientifique, sujet qui est toujours d'actualité, les problèmes de société sous le Second Empire ou encore les risques de grands conflits qui se profilaient à l'horizon.
En dépit de leurs différences d'origine et de tempérament, Fabre et Pasteur étaient possédés par la rigueur scientifique, la soif de progrès, la passion de la nature et de la vie. Tous deux étaient sensibles aux arts et eus deux connaissaient la souffrance que provoquent la maladie et la perte d'êtres chers. Cette fantaisie en forme de dialogue imagine la rencontre entre ces deux grands savants et cherche à faire comprendre comment se construisit la science moderne il y a un siècle et demi.
En 1865, par une chaude journée d'été, Louis Pasteur se rendit chez Jean-Henri Fabre à Avignon. Une maladie, la pébrine, ravageait les élevages de vers à soie dans le Midi de la France et le chimiste venait s'informer auprès du célèbre entomologiste. Au cours de la conversation, il fut question des moeurs des insectes mais aussi, l'auteur qui a approfondi leurs oeuvres en est convaincu, de bien d'autres sujets tels que les vicissitudes de l'enseignement et de la recherche scientifique, sujet qui est toujours d'actualité, les problèmes de société sous le Second Empire ou encore les risques de grands conflits qui se profilaient à l'horizon.
En dépit de leurs différences d'origine et de tempérament, Fabre et Pasteur étaient possédés par la rigueur scientifique, la soif de progrès, la passion de la nature et de la vie. Tous deux étaient sensibles aux arts et eus deux connaissaient la souffrance que provoquent la maladie et la perte d'êtres chers. Cette fantaisie en forme de dialogue imagine la rencontre entre ces deux grands savants et cherche à faire comprendre comment se construisit la science moderne il y a un siècle et demi.