Jean-Baptiste Lecarpentier. Conventionnel de la Manche. Vainqueur du siège de Granville en 1793. Suivi de : Jean Le Marois
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- Nombre de pages100
- FormatePub
- ISBN2-307-07974-2
- EAN9782307079743
- Date de parution01/01/1995
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille28 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Isoè...
Résumé
"Le présent ouvrage s'inscrit dans la même veine que le précédent. Il répare aussi une injustice. Jean-Baptiste Lecarpentier, grande figure révolutionnaire de la Manche, est - depuis deux siècles - sali par une historiographie revancharde. Le Comité de salut public l'avait envoyé dans son département d'origine en qualité de représentant du peuple. Par un contresens historique étonnant, mais non pas innocent, on voudrait aujourd'hui que la Manche ait été terre chouanne.
Rien de plus faux. Le département - le Cotentin surtout - était acquis à la République. Lecarpentier sut le galvaniser. C'est à son énergie qu'on doit la capitale victoire de Granville sur l'armée vendéenne en quête d'un port. Il est toujours vain d'écrire l'histoire au conditionnel. Pourtant, si Granville était tombée, offrant une tête de pont aux émigrés et à l'armée anglaise regroupée dans les îles anglo-normandes, la République, dont les troupes se battaient sur les frontières, n'eût peut-être pas survécu.
L'Histoire, au moins à certains moments, est faite par des individus essentiels. Lecarpentier fut l'un deux quand, à la tête de cinq mille hommes, il écrasa les vingt mille Vendéens qui savaient livrer la bataille de la dernière chance."
Rien de plus faux. Le département - le Cotentin surtout - était acquis à la République. Lecarpentier sut le galvaniser. C'est à son énergie qu'on doit la capitale victoire de Granville sur l'armée vendéenne en quête d'un port. Il est toujours vain d'écrire l'histoire au conditionnel. Pourtant, si Granville était tombée, offrant une tête de pont aux émigrés et à l'armée anglaise regroupée dans les îles anglo-normandes, la République, dont les troupes se battaient sur les frontières, n'eût peut-être pas survécu.
L'Histoire, au moins à certains moments, est faite par des individus essentiels. Lecarpentier fut l'un deux quand, à la tête de cinq mille hommes, il écrasa les vingt mille Vendéens qui savaient livrer la bataille de la dernière chance."
"Le présent ouvrage s'inscrit dans la même veine que le précédent. Il répare aussi une injustice. Jean-Baptiste Lecarpentier, grande figure révolutionnaire de la Manche, est - depuis deux siècles - sali par une historiographie revancharde. Le Comité de salut public l'avait envoyé dans son département d'origine en qualité de représentant du peuple. Par un contresens historique étonnant, mais non pas innocent, on voudrait aujourd'hui que la Manche ait été terre chouanne.
Rien de plus faux. Le département - le Cotentin surtout - était acquis à la République. Lecarpentier sut le galvaniser. C'est à son énergie qu'on doit la capitale victoire de Granville sur l'armée vendéenne en quête d'un port. Il est toujours vain d'écrire l'histoire au conditionnel. Pourtant, si Granville était tombée, offrant une tête de pont aux émigrés et à l'armée anglaise regroupée dans les îles anglo-normandes, la République, dont les troupes se battaient sur les frontières, n'eût peut-être pas survécu.
L'Histoire, au moins à certains moments, est faite par des individus essentiels. Lecarpentier fut l'un deux quand, à la tête de cinq mille hommes, il écrasa les vingt mille Vendéens qui savaient livrer la bataille de la dernière chance."
Rien de plus faux. Le département - le Cotentin surtout - était acquis à la République. Lecarpentier sut le galvaniser. C'est à son énergie qu'on doit la capitale victoire de Granville sur l'armée vendéenne en quête d'un port. Il est toujours vain d'écrire l'histoire au conditionnel. Pourtant, si Granville était tombée, offrant une tête de pont aux émigrés et à l'armée anglaise regroupée dans les îles anglo-normandes, la République, dont les troupes se battaient sur les frontières, n'eût peut-être pas survécu.
L'Histoire, au moins à certains moments, est faite par des individus essentiels. Lecarpentier fut l'un deux quand, à la tête de cinq mille hommes, il écrasa les vingt mille Vendéens qui savaient livrer la bataille de la dernière chance."