Je t'écris de la tranchée
Par : ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages352
- FormatPDF
- ISBN978-2-226-21393-8
- EAN9782226213938
- Date de parution29/10/2003
- Protection num.Adobe DRM
- Taille14 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurAlbin Michel
Résumé
Miraculeusement retrouvée, cette correspondance inédite de Roland Dorgelès est un document exceptionnel sur la Première Guerre mondiale qui éclaire de façon passionnante la genèse des Croix de bois, le chef-d'oeuvre du romancier. Ce témoignage unique porte un regard nouveau sur l'homme et le combattant que fut Roland Dorgelès, mais aussi sur ce double amour qui l'unissait d'une part à sa mère et d'autre part à Mado dont il était éperdument épris.
Mado l'abandonna mais conserva jusqu'à sa mort, en 1972, les lettres de son amant.
Mado l'abandonna mais conserva jusqu'à sa mort, en 1972, les lettres de son amant.
Miraculeusement retrouvée, cette correspondance inédite de Roland Dorgelès est un document exceptionnel sur la Première Guerre mondiale qui éclaire de façon passionnante la genèse des Croix de bois, le chef-d'oeuvre du romancier. Ce témoignage unique porte un regard nouveau sur l'homme et le combattant que fut Roland Dorgelès, mais aussi sur ce double amour qui l'unissait d'une part à sa mère et d'autre part à Mado dont il était éperdument épris.
Mado l'abandonna mais conserva jusqu'à sa mort, en 1972, les lettres de son amant.
Mado l'abandonna mais conserva jusqu'à sa mort, en 1972, les lettres de son amant.