Je ne veux jamais l'oublier
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- Nombre de pages384
- FormatePub
- ISBN978-2-07-272062-8
- EAN9782072720628
- Date de parution01/03/2017
- Protection num.Adobe DRM
- Taille461 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEditions Gallimard
Résumé
Roman historique ? Oui... car, en 1950, les taxis s'appelaient "voitures de place", à l'aube, aux Halles, une forte odeur de soupe à l'oignon réconfortait les amis de la nuit ; on dansait la rumba, le fox-trot et le slow. Et même, dans les caves, endroits de perdition, on dansait le jitterburg. Saint-Germain-des-Prés était un joli village ; les jeunes filles ne se mettaient pas au lit dès qu'on leur disait bonjour un peu poliment : elles jouaient le jeu, parfois cruel et compliqué, parfois très lent, mais qui permettait à chacun de mesurer la vérité de ses sentiments.
L'Italie était toujours le pays aimé de Stendhal. Rien n'empêchait la douceur de vivre, enfin retrouvée après la guerre, de se voiler d'amertume ou de se gonfler d'espoir d'une façon tout à fait déraisonnable...
L'Italie était toujours le pays aimé de Stendhal. Rien n'empêchait la douceur de vivre, enfin retrouvée après la guerre, de se voiler d'amertume ou de se gonfler d'espoir d'une façon tout à fait déraisonnable...
Roman historique ? Oui... car, en 1950, les taxis s'appelaient "voitures de place", à l'aube, aux Halles, une forte odeur de soupe à l'oignon réconfortait les amis de la nuit ; on dansait la rumba, le fox-trot et le slow. Et même, dans les caves, endroits de perdition, on dansait le jitterburg. Saint-Germain-des-Prés était un joli village ; les jeunes filles ne se mettaient pas au lit dès qu'on leur disait bonjour un peu poliment : elles jouaient le jeu, parfois cruel et compliqué, parfois très lent, mais qui permettait à chacun de mesurer la vérité de ses sentiments.
L'Italie était toujours le pays aimé de Stendhal. Rien n'empêchait la douceur de vivre, enfin retrouvée après la guerre, de se voiler d'amertume ou de se gonfler d'espoir d'une façon tout à fait déraisonnable...
L'Italie était toujours le pays aimé de Stendhal. Rien n'empêchait la douceur de vivre, enfin retrouvée après la guerre, de se voiler d'amertume ou de se gonfler d'espoir d'une façon tout à fait déraisonnable...