Je ne sais rien... mais je dirai (presque) tout. Conversations avec Eric Branca
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- Nombre de pages182
- FormatePub
- ISBN978-2-259-21157-4
- EAN9782259211574
- Date de parution02/12/2010
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPlon
- InterviewerEric Branca
Résumé
Figure historique de la police, directeur des Renseignements généraux, Yves Bertrand prend sa retraite après douze années mouvementées. En acceptant de publier cet ouvrage, il commente une longue carrière épousant les contours les plus dissimulés de la république.
Du " corbeau " de l'affaire Juppé à l'ouragan Clearstream, de l'espionnage du parti communiste sous Mitterrand à la chute de la maison Pasqua, en passant par la déstabilisation de François Léotard à la suite de l'assassinat de Yann Piat, on ne compte plus les " affaires " dans lesquelles le seul nom d'Yves Bertrand tient lieu de sésame : " Il est dans le coup !"...
Maintes fois entendue, cette exclamation en dit long sur l'aura de ce personnage qui, jusqu'alors, avait obstinément refusé de s'exprimer à mots découverts sur les méandres d'une carrière épousant les contours les plus dissimulés de la République. Directeur central des Renseignements généraux de 1992 à 2004, après avoir tout connu de ce service alimentant suspicions et fantasmes, Yves Bertrand restera-t-il comme le Hoover français, du nom de l'ancien patron du FBI qui fit trembler trois générations d'hommes politiques américains ? Avec une franchise parfois déroutante, et par de nombreuses anecdotes inédites, il répond aux questions que se posent les Français sur le renseignement intérieur et sa logique profonde.
Existe-il encore une police politique ? A quoi servent les notes blanches et les centaines de milliers de fiches nominatives archivées dans les ordinateurs de la Place Beauvau ? A force de renseigner ceux qui gouvernent, n'est-on pas tenté de manipuler l'information, voire d'en faire usage pour son seul profit? Enfin et surtout, voit-on les hommes de la même façon quand, pendant tant d'années, on s'est efforcé d'être les yeux et les oreilles du pouvoir, qu'il s'agisse d'enjeux véniels, comme l'issue d'une élection cantonale, ou majeurs, comme la lutte contre le terrorisme ou les réseaux pédophiles? Interrogé par Eric Branca, directeur de la rédaction de l'hebdomadaire Valeurs Actuelles, Yves Bertrand brise le silence.
Maintes fois entendue, cette exclamation en dit long sur l'aura de ce personnage qui, jusqu'alors, avait obstinément refusé de s'exprimer à mots découverts sur les méandres d'une carrière épousant les contours les plus dissimulés de la République. Directeur central des Renseignements généraux de 1992 à 2004, après avoir tout connu de ce service alimentant suspicions et fantasmes, Yves Bertrand restera-t-il comme le Hoover français, du nom de l'ancien patron du FBI qui fit trembler trois générations d'hommes politiques américains ? Avec une franchise parfois déroutante, et par de nombreuses anecdotes inédites, il répond aux questions que se posent les Français sur le renseignement intérieur et sa logique profonde.
Existe-il encore une police politique ? A quoi servent les notes blanches et les centaines de milliers de fiches nominatives archivées dans les ordinateurs de la Place Beauvau ? A force de renseigner ceux qui gouvernent, n'est-on pas tenté de manipuler l'information, voire d'en faire usage pour son seul profit? Enfin et surtout, voit-on les hommes de la même façon quand, pendant tant d'années, on s'est efforcé d'être les yeux et les oreilles du pouvoir, qu'il s'agisse d'enjeux véniels, comme l'issue d'une élection cantonale, ou majeurs, comme la lutte contre le terrorisme ou les réseaux pédophiles? Interrogé par Eric Branca, directeur de la rédaction de l'hebdomadaire Valeurs Actuelles, Yves Bertrand brise le silence.
Figure historique de la police, directeur des Renseignements généraux, Yves Bertrand prend sa retraite après douze années mouvementées. En acceptant de publier cet ouvrage, il commente une longue carrière épousant les contours les plus dissimulés de la république.
Du " corbeau " de l'affaire Juppé à l'ouragan Clearstream, de l'espionnage du parti communiste sous Mitterrand à la chute de la maison Pasqua, en passant par la déstabilisation de François Léotard à la suite de l'assassinat de Yann Piat, on ne compte plus les " affaires " dans lesquelles le seul nom d'Yves Bertrand tient lieu de sésame : " Il est dans le coup !"...
Maintes fois entendue, cette exclamation en dit long sur l'aura de ce personnage qui, jusqu'alors, avait obstinément refusé de s'exprimer à mots découverts sur les méandres d'une carrière épousant les contours les plus dissimulés de la République. Directeur central des Renseignements généraux de 1992 à 2004, après avoir tout connu de ce service alimentant suspicions et fantasmes, Yves Bertrand restera-t-il comme le Hoover français, du nom de l'ancien patron du FBI qui fit trembler trois générations d'hommes politiques américains ? Avec une franchise parfois déroutante, et par de nombreuses anecdotes inédites, il répond aux questions que se posent les Français sur le renseignement intérieur et sa logique profonde.
Existe-il encore une police politique ? A quoi servent les notes blanches et les centaines de milliers de fiches nominatives archivées dans les ordinateurs de la Place Beauvau ? A force de renseigner ceux qui gouvernent, n'est-on pas tenté de manipuler l'information, voire d'en faire usage pour son seul profit? Enfin et surtout, voit-on les hommes de la même façon quand, pendant tant d'années, on s'est efforcé d'être les yeux et les oreilles du pouvoir, qu'il s'agisse d'enjeux véniels, comme l'issue d'une élection cantonale, ou majeurs, comme la lutte contre le terrorisme ou les réseaux pédophiles? Interrogé par Eric Branca, directeur de la rédaction de l'hebdomadaire Valeurs Actuelles, Yves Bertrand brise le silence.
Maintes fois entendue, cette exclamation en dit long sur l'aura de ce personnage qui, jusqu'alors, avait obstinément refusé de s'exprimer à mots découverts sur les méandres d'une carrière épousant les contours les plus dissimulés de la République. Directeur central des Renseignements généraux de 1992 à 2004, après avoir tout connu de ce service alimentant suspicions et fantasmes, Yves Bertrand restera-t-il comme le Hoover français, du nom de l'ancien patron du FBI qui fit trembler trois générations d'hommes politiques américains ? Avec une franchise parfois déroutante, et par de nombreuses anecdotes inédites, il répond aux questions que se posent les Français sur le renseignement intérieur et sa logique profonde.
Existe-il encore une police politique ? A quoi servent les notes blanches et les centaines de milliers de fiches nominatives archivées dans les ordinateurs de la Place Beauvau ? A force de renseigner ceux qui gouvernent, n'est-on pas tenté de manipuler l'information, voire d'en faire usage pour son seul profit? Enfin et surtout, voit-on les hommes de la même façon quand, pendant tant d'années, on s'est efforcé d'être les yeux et les oreilles du pouvoir, qu'il s'agisse d'enjeux véniels, comme l'issue d'une élection cantonale, ou majeurs, comme la lutte contre le terrorisme ou les réseaux pédophiles? Interrogé par Eric Branca, directeur de la rédaction de l'hebdomadaire Valeurs Actuelles, Yves Bertrand brise le silence.











