« Je ne me suis jamais senti un étranger en France. J'ai beaucoup vécu à Paris dans ma jeunesse. Ah ! cette atmosphère humaine, amicale, sans pompe ni faste, cette atmosphère de camaraderie que j'étais sûr de trouver chez mon ami Georges Duhamel, alors médecin, chez mon ami Jules Romains, professeur de lycée, est de celles que l'on n'oublie pas », déclarait Stefan Zweig en avril 1940 dans le journal Marianne.
L'auteur du Monde d'hier a entretenu un lien particulier avec la France, le pays de ses héros : Montaigne, Balzac ou Verlaine, mais aussi de son maître, Romain Rolland. C'est ce pays qu'il a élu comme la patrie de son cour. À chaque période de sa vie - avant 1914, depuis la Suisse Salzbourg ou Londres, fuyant sa chère Europe défigurée - il y a noué des liens d'affection, car malgré son succès dans le monde entier, sa « religion de l'amitié » avec des auteurs français est restée essentielle pour lui.
Ce livre, qui rassemble plus de 400 lettres inédites, écrites presque toutes en français, en porte témoignage et réserve plus d'une surprise sur ses engagements littéraires et politiques.
Préfacé et annoté par Brigitte Cain-Hérudent et Claudine Delphis.
« Je ne me suis jamais senti un étranger en France. J'ai beaucoup vécu à Paris dans ma jeunesse. Ah ! cette atmosphère humaine, amicale, sans pompe ni faste, cette atmosphère de camaraderie que j'étais sûr de trouver chez mon ami Georges Duhamel, alors médecin, chez mon ami Jules Romains, professeur de lycée, est de celles que l'on n'oublie pas », déclarait Stefan Zweig en avril 1940 dans le journal Marianne.
L'auteur du Monde d'hier a entretenu un lien particulier avec la France, le pays de ses héros : Montaigne, Balzac ou Verlaine, mais aussi de son maître, Romain Rolland. C'est ce pays qu'il a élu comme la patrie de son cour. À chaque période de sa vie - avant 1914, depuis la Suisse Salzbourg ou Londres, fuyant sa chère Europe défigurée - il y a noué des liens d'affection, car malgré son succès dans le monde entier, sa « religion de l'amitié » avec des auteurs français est restée essentielle pour lui.
Ce livre, qui rassemble plus de 400 lettres inédites, écrites presque toutes en français, en porte témoignage et réserve plus d'une surprise sur ses engagements littéraires et politiques.
Préfacé et annoté par Brigitte Cain-Hérudent et Claudine Delphis.