Je n'ai jamais rencontré Mitterrand, ni sa femme, ni sa fille...
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- Nombre de pages191
- FormatePub
- ISBN978-2-84271-620-2
- EAN9782842716202
- Date de parution12/03/2015
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille396 Ko
- ÉditeurLa Musardine
Résumé
" Comme pour des milliers de jeunes français, la victoire de François Mitterrand et de la gauche en 1981 a été pour moi une formidable bouée où accrocher désespérément mes rêves d'utopie, mes espoirs d'égalités sociales et ma soif de libertés partagées. ... Dans Paris, à cette époque, les filles étaient belles, leur regard pur, leurs jambes longues, elles sentaient l'amour comme je sentais le désir.
Les femmes m'ont fait oublier la sueur poisseuse de mes journées de travail, l'odeur âcre du métal que l'on charrie, la chaleur du chalumeau, le manque de chance d'être pauvre. Les femmes m'ont fait oublier la déception de n'être rien sous la droite et de n'être pas plus sous la gauche quand on est ouvrier. En 1981, j'avais 20 ans, j'aurais donné mon scooter et ma collection de disques de Miles Davis pour rencontrer François Mitterrand et ne plus entendre de disco à la radio.
Le sort en a décidé autrement. "
Les femmes m'ont fait oublier la sueur poisseuse de mes journées de travail, l'odeur âcre du métal que l'on charrie, la chaleur du chalumeau, le manque de chance d'être pauvre. Les femmes m'ont fait oublier la déception de n'être rien sous la droite et de n'être pas plus sous la gauche quand on est ouvrier. En 1981, j'avais 20 ans, j'aurais donné mon scooter et ma collection de disques de Miles Davis pour rencontrer François Mitterrand et ne plus entendre de disco à la radio.
Le sort en a décidé autrement. "
" Comme pour des milliers de jeunes français, la victoire de François Mitterrand et de la gauche en 1981 a été pour moi une formidable bouée où accrocher désespérément mes rêves d'utopie, mes espoirs d'égalités sociales et ma soif de libertés partagées. ... Dans Paris, à cette époque, les filles étaient belles, leur regard pur, leurs jambes longues, elles sentaient l'amour comme je sentais le désir.
Les femmes m'ont fait oublier la sueur poisseuse de mes journées de travail, l'odeur âcre du métal que l'on charrie, la chaleur du chalumeau, le manque de chance d'être pauvre. Les femmes m'ont fait oublier la déception de n'être rien sous la droite et de n'être pas plus sous la gauche quand on est ouvrier. En 1981, j'avais 20 ans, j'aurais donné mon scooter et ma collection de disques de Miles Davis pour rencontrer François Mitterrand et ne plus entendre de disco à la radio.
Le sort en a décidé autrement. "
Les femmes m'ont fait oublier la sueur poisseuse de mes journées de travail, l'odeur âcre du métal que l'on charrie, la chaleur du chalumeau, le manque de chance d'être pauvre. Les femmes m'ont fait oublier la déception de n'être rien sous la droite et de n'être pas plus sous la gauche quand on est ouvrier. En 1981, j'avais 20 ans, j'aurais donné mon scooter et ma collection de disques de Miles Davis pour rencontrer François Mitterrand et ne plus entendre de disco à la radio.
Le sort en a décidé autrement. "