Je est en jeu
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- Nombre de pages181
- FormatePub
- ISBN2-84628-406-7
- EAN9782846284066
- Date de parution19/12/2013
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurBlanche
Résumé
Dans ce roman SM, l'auteur a parfaitement décrit ce lent parcours de dressage qui mène l'homme a aimer puis à réclamer la soumission à la femme. Un texte violent servi par une très belle écriture qui dérangera les hommes et intriguera les femmes.À la suite d'une embardée, "Je", le narrateur, trouve refuge dans une maison isolée où une femme sans âge lui offre l'hospitalité pour la nuit.À son réveil, il se retrouve enchaîné, les bras en croix dans une pièce qu'il ne connaît pas.
La douleur, le froid et la faim auront raison de sa résistance. Évanoui, il est réanimé par un violent coup de badine et une phrase : « Veux-tu être mon esclave ? » Sa volonté s'incline devant la violence des coups assenés sans retenue et, vaincu par la douleur, il souffle < oui » et retombe dans l'inconscience. Commence alors un dressage rigoureux destiné à faire de lui un homme objet. Parqué, marqué, il abandonne son âme et son corps à la plus complète soumission.
Son calvaire est balisé d'impitoyables mutations en différents rôles : chien de chasse, cheval de course, oiseau de compagnie..., jusqu'à ce que, lassé de ce jouet inutile, sa propriétaire le vende comme une simple marchandise. Ses nouvelles maîtresses l'emmènent dans un monastère sensuel où les abbesses emploient les hommes en toute occasion pour des fonctions usuelles : paillasson, tabouret, chandelier, écritoire, oreiller...
Sanglés dans des cuirs étroits, les serviteurs prêtent leur concour obligé dans des jeux d'une cruauté raffinée."Je" parcourt la hiérarchie des douleurs, remplissant des fonctions au caprice de ce dames : son corps se transforme, son esprit perd toute initiative jusqu'à prendre une part active dans le processus de domination.
La douleur, le froid et la faim auront raison de sa résistance. Évanoui, il est réanimé par un violent coup de badine et une phrase : « Veux-tu être mon esclave ? » Sa volonté s'incline devant la violence des coups assenés sans retenue et, vaincu par la douleur, il souffle < oui » et retombe dans l'inconscience. Commence alors un dressage rigoureux destiné à faire de lui un homme objet. Parqué, marqué, il abandonne son âme et son corps à la plus complète soumission.
Son calvaire est balisé d'impitoyables mutations en différents rôles : chien de chasse, cheval de course, oiseau de compagnie..., jusqu'à ce que, lassé de ce jouet inutile, sa propriétaire le vende comme une simple marchandise. Ses nouvelles maîtresses l'emmènent dans un monastère sensuel où les abbesses emploient les hommes en toute occasion pour des fonctions usuelles : paillasson, tabouret, chandelier, écritoire, oreiller...
Sanglés dans des cuirs étroits, les serviteurs prêtent leur concour obligé dans des jeux d'une cruauté raffinée."Je" parcourt la hiérarchie des douleurs, remplissant des fonctions au caprice de ce dames : son corps se transforme, son esprit perd toute initiative jusqu'à prendre une part active dans le processus de domination.
Dans ce roman SM, l'auteur a parfaitement décrit ce lent parcours de dressage qui mène l'homme a aimer puis à réclamer la soumission à la femme. Un texte violent servi par une très belle écriture qui dérangera les hommes et intriguera les femmes.À la suite d'une embardée, "Je", le narrateur, trouve refuge dans une maison isolée où une femme sans âge lui offre l'hospitalité pour la nuit.À son réveil, il se retrouve enchaîné, les bras en croix dans une pièce qu'il ne connaît pas.
La douleur, le froid et la faim auront raison de sa résistance. Évanoui, il est réanimé par un violent coup de badine et une phrase : « Veux-tu être mon esclave ? » Sa volonté s'incline devant la violence des coups assenés sans retenue et, vaincu par la douleur, il souffle < oui » et retombe dans l'inconscience. Commence alors un dressage rigoureux destiné à faire de lui un homme objet. Parqué, marqué, il abandonne son âme et son corps à la plus complète soumission.
Son calvaire est balisé d'impitoyables mutations en différents rôles : chien de chasse, cheval de course, oiseau de compagnie..., jusqu'à ce que, lassé de ce jouet inutile, sa propriétaire le vende comme une simple marchandise. Ses nouvelles maîtresses l'emmènent dans un monastère sensuel où les abbesses emploient les hommes en toute occasion pour des fonctions usuelles : paillasson, tabouret, chandelier, écritoire, oreiller...
Sanglés dans des cuirs étroits, les serviteurs prêtent leur concour obligé dans des jeux d'une cruauté raffinée."Je" parcourt la hiérarchie des douleurs, remplissant des fonctions au caprice de ce dames : son corps se transforme, son esprit perd toute initiative jusqu'à prendre une part active dans le processus de domination.
La douleur, le froid et la faim auront raison de sa résistance. Évanoui, il est réanimé par un violent coup de badine et une phrase : « Veux-tu être mon esclave ? » Sa volonté s'incline devant la violence des coups assenés sans retenue et, vaincu par la douleur, il souffle < oui » et retombe dans l'inconscience. Commence alors un dressage rigoureux destiné à faire de lui un homme objet. Parqué, marqué, il abandonne son âme et son corps à la plus complète soumission.
Son calvaire est balisé d'impitoyables mutations en différents rôles : chien de chasse, cheval de course, oiseau de compagnie..., jusqu'à ce que, lassé de ce jouet inutile, sa propriétaire le vende comme une simple marchandise. Ses nouvelles maîtresses l'emmènent dans un monastère sensuel où les abbesses emploient les hommes en toute occasion pour des fonctions usuelles : paillasson, tabouret, chandelier, écritoire, oreiller...
Sanglés dans des cuirs étroits, les serviteurs prêtent leur concour obligé dans des jeux d'une cruauté raffinée."Je" parcourt la hiérarchie des douleurs, remplissant des fonctions au caprice de ce dames : son corps se transforme, son esprit perd toute initiative jusqu'à prendre une part active dans le processus de domination.