Jacques Soustelle le mal aimé
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages478
- FormatPDF
- ISBN2-259-25856-5
- EAN9782259258562
- Date de parution01/01/1995
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille180 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurPlon (réédition numérique FeniXX...
Résumé
Destin exceptionnel que celui de Jacques Soustelle. Cet homme incarne quelques-uns des grands refus du XXe siècle.
Descendant des Camisards, ce surdoué, entré premier - à 17 ans - à Normale, renonce très vite à une carrière universitaire, pour s'enfoncer dans les forêts mexicaines à la recherche des Aztèques. En 1940, il est un des premiers à rallier la France libre encore embryonnaire.
De Gaulle fait, de son jeune commissaire national à l'Information, le chef de ses services secrets.
Deux fois ministre, en 1945, il s'emploiera ensuite, avec fougue, à faire tomber - au profit du Général - le régime de la IVe République qu'il juge désastreux. Nommé, par Pierre Mendès France, gouverneur général de l'Algérie dans les premiers mois de l'insurrection, il sera en 1958, à Alger, le principal artisan du retour du Général aux affaires. Pourtant, son refus de l'« Algérie algérienne » scellera sa rupture définitive avec de Gaulle. Celui en qui certains voyaient le premier des Premiers ministres de la Ve République, quitte alors la France clandestinement pour mener, depuis son exil, un complot qu'il sait perdu d'avance. Conspirateur, pamphlétaire, ethnologue, Soustelle ne regagnera la France qu'en 1968.
Deux fois ministre, en 1945, il s'emploiera ensuite, avec fougue, à faire tomber - au profit du Général - le régime de la IVe République qu'il juge désastreux. Nommé, par Pierre Mendès France, gouverneur général de l'Algérie dans les premiers mois de l'insurrection, il sera en 1958, à Alger, le principal artisan du retour du Général aux affaires. Pourtant, son refus de l'« Algérie algérienne » scellera sa rupture définitive avec de Gaulle. Celui en qui certains voyaient le premier des Premiers ministres de la Ve République, quitte alors la France clandestinement pour mener, depuis son exil, un complot qu'il sait perdu d'avance. Conspirateur, pamphlétaire, ethnologue, Soustelle ne regagnera la France qu'en 1968.
Destin exceptionnel que celui de Jacques Soustelle. Cet homme incarne quelques-uns des grands refus du XXe siècle.
Descendant des Camisards, ce surdoué, entré premier - à 17 ans - à Normale, renonce très vite à une carrière universitaire, pour s'enfoncer dans les forêts mexicaines à la recherche des Aztèques. En 1940, il est un des premiers à rallier la France libre encore embryonnaire.
De Gaulle fait, de son jeune commissaire national à l'Information, le chef de ses services secrets.
Deux fois ministre, en 1945, il s'emploiera ensuite, avec fougue, à faire tomber - au profit du Général - le régime de la IVe République qu'il juge désastreux. Nommé, par Pierre Mendès France, gouverneur général de l'Algérie dans les premiers mois de l'insurrection, il sera en 1958, à Alger, le principal artisan du retour du Général aux affaires. Pourtant, son refus de l'« Algérie algérienne » scellera sa rupture définitive avec de Gaulle. Celui en qui certains voyaient le premier des Premiers ministres de la Ve République, quitte alors la France clandestinement pour mener, depuis son exil, un complot qu'il sait perdu d'avance. Conspirateur, pamphlétaire, ethnologue, Soustelle ne regagnera la France qu'en 1968.
Deux fois ministre, en 1945, il s'emploiera ensuite, avec fougue, à faire tomber - au profit du Général - le régime de la IVe République qu'il juge désastreux. Nommé, par Pierre Mendès France, gouverneur général de l'Algérie dans les premiers mois de l'insurrection, il sera en 1958, à Alger, le principal artisan du retour du Général aux affaires. Pourtant, son refus de l'« Algérie algérienne » scellera sa rupture définitive avec de Gaulle. Celui en qui certains voyaient le premier des Premiers ministres de la Ve République, quitte alors la France clandestinement pour mener, depuis son exil, un complot qu'il sait perdu d'avance. Conspirateur, pamphlétaire, ethnologue, Soustelle ne regagnera la France qu'en 1968.