J'avais 9 ans quand ils nous ont raflés

Par : Arlette Testyler, Alexandre Duyck
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages1
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7556-7312-8
  • EAN9782755673128
  • Date de parution15/05/2024
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurHugo Document
  • PréfacierTatiana de Rosnay

Résumé

Arlette Testyler livre un témoignage poignant en forme de devoir de mémoire pour se souvenir de toutes celles et tous ceux qui ne sont pas revenus des camps et n'ont pas échappé à l'horreur de la Shoah.16 juillet 1942, 5 heures du matin : Arlette, 9 ans, sa mère et sa grande sour sont emmenées au Vélodrome d'Hiver par la police française. Si son père a été déporté l'année précédente, si le port de l'étoile jaune lui est devenu obligatoire, si le square où elle a l'habitude de jouer est devenu « interdit aux chiens et aux juifs », elle découvre l'impensable en arrivant rue Nélaton : des milliers de personnes sont massées sous la verrière par une chaleur épouvantable.
Parmi elles, des bébés, des enfants, des femmes enceintes, des vieillards. Pas d'eau, pas de nourriture, pas de toilette. Pendant trois jours et trois nuits, du haut de ses 9 ans, Arlette assiste à l'horreur absolue. Le 19 juillet, elle est emmenée dans des wagons à bestiaux au camp de Beaune-la-Rolande, dont elle réussira par chance à s'échapper. Elle devra alors vivre cachée jusqu'à la fin de la guerre.
Arlette Testyler livre un témoignage poignant en forme de devoir de mémoire pour se souvenir de toutes celles et tous ceux qui ne sont pas revenus des camps et n'ont pas échappé à l'horreur de la Shoah.16 juillet 1942, 5 heures du matin : Arlette, 9 ans, sa mère et sa grande sour sont emmenées au Vélodrome d'Hiver par la police française. Si son père a été déporté l'année précédente, si le port de l'étoile jaune lui est devenu obligatoire, si le square où elle a l'habitude de jouer est devenu « interdit aux chiens et aux juifs », elle découvre l'impensable en arrivant rue Nélaton : des milliers de personnes sont massées sous la verrière par une chaleur épouvantable.
Parmi elles, des bébés, des enfants, des femmes enceintes, des vieillards. Pas d'eau, pas de nourriture, pas de toilette. Pendant trois jours et trois nuits, du haut de ses 9 ans, Arlette assiste à l'horreur absolue. Le 19 juillet, elle est emmenée dans des wagons à bestiaux au camp de Beaune-la-Rolande, dont elle réussira par chance à s'échapper. Elle devra alors vivre cachée jusqu'à la fin de la guerre.