J'ai toujours ton coeur avec moi

Par : Soffia Bjarnadottir

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  • Nombre de pages144
  • FormatePub
  • ISBN978-2-84304-767-1
  • EAN9782843047671
  • Date de parution07/01/2016
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille348 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurZULMA
  • TraducteurJean-Christophe Salaün

Résumé

Phénix excentrique tant de fois ressurgi de ses cendres, Siggý n'est plus. Elle qui n'a jamais été là pour personne a légué à sa fille Hildur son mal étrange et une petite maison jaune sur l'île de Flatey. Une lettre de sa mère pour seul viatique, Hildur s'embarque vers ce point minuscule perdu dans l'océan. Avec pour ange tutélaire l'homme aux yeux vairons. Et une foule de souvenirs sans pareils - les extravagances de Siggý et de son voisin Kafka, les mantras de grand-mère Láretta contre les idées noires, l'appel des phoques sacrés ou les fantômes de la rue Klapparstígur...
Qui tous portent la promesse d'une singulière renaissance. Comme une consolation venue d'ailleurs, J'ai toujours ton cour avec moi est la belle chronique de ces quelques jours sans boussole - mélancolique, insolite et décalée. Soffía Bjarnadóttir a grandi à Reykjavík. J'ai toujours ton cour avec moi est son premier roman - délicieusement décentré et miraculeusement juste.
Phénix excentrique tant de fois ressurgi de ses cendres, Siggý n'est plus. Elle qui n'a jamais été là pour personne a légué à sa fille Hildur son mal étrange et une petite maison jaune sur l'île de Flatey. Une lettre de sa mère pour seul viatique, Hildur s'embarque vers ce point minuscule perdu dans l'océan. Avec pour ange tutélaire l'homme aux yeux vairons. Et une foule de souvenirs sans pareils - les extravagances de Siggý et de son voisin Kafka, les mantras de grand-mère Láretta contre les idées noires, l'appel des phoques sacrés ou les fantômes de la rue Klapparstígur...
Qui tous portent la promesse d'une singulière renaissance. Comme une consolation venue d'ailleurs, J'ai toujours ton cour avec moi est la belle chronique de ces quelques jours sans boussole - mélancolique, insolite et décalée. Soffía Bjarnadóttir a grandi à Reykjavík. J'ai toujours ton cour avec moi est son premier roman - délicieusement décentré et miraculeusement juste.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

2 Coups de cœur
de nos libraires
Odile E.Decitre Part-Dieu
4/5
J'ai toujours ton coeur avec moi
J'AI TOUJOURS TON COEUR AVEC MOI Ce premier roman de Soffia Bjarnadottir nous transporte dans une petite île islandaise sur laquelle le temps semble s'être arrêté et le passé omniprésent. Le personnage d'Hildur nous conte la vie de sa mère Siggy venant de décèder dans un style lyrique et décalé, mais aussi avec humour, affection et peut-être même un petit brin de cruauté parfois et de ressentiment souvent. En effet, Siggy semblait accorder plus d'importance à sa vie de femme que de mère. Hildur nous dresse ici le portrait d'une femme fantasque, égoïste, empreinte de vague à l'âme, troublante et touchante. A quel destin se prépare Hildur en retournant dans les traces de sa mère, munie de la lettre d'adieu de cette dernière lorsqu'elle retourne sur l'île de Flatey ? Et quelle place l'homme aux yeux vairon tiendra-t-il ? Odile libraire Decitre Saint-genis laval
J'AI TOUJOURS TON COEUR AVEC MOI Ce premier roman de Soffia Bjarnadottir nous transporte dans une petite île islandaise sur laquelle le temps semble s'être arrêté et le passé omniprésent. Le personnage d'Hildur nous conte la vie de sa mère Siggy venant de décèder dans un style lyrique et décalé, mais aussi avec humour, affection et peut-être même un petit brin de cruauté parfois et de ressentiment souvent. En effet, Siggy semblait accorder plus d'importance à sa vie de femme que de mère. Hildur nous dresse ici le portrait d'une femme fantasque, égoïste, empreinte de vague à l'âme, troublante et touchante. A quel destin se prépare Hildur en retournant dans les traces de sa mère, munie de la lettre d'adieu de cette dernière lorsqu'elle retourne sur l'île de Flatey ? Et quelle place l'homme aux yeux vairon tiendra-t-il ? Odile libraire Decitre Saint-genis laval
FabienDecitre Part-Dieu
4/5
Segulskekkja
La narratrice vient de perdre sa mère, nous la suivons sur les lieux de son enfance. L'écriture se trouble, la perte fait remonter à la surface des souvenirs, et tout se mélange parfois entre ceux de la fille et ceux de la mère. Cet univers particulier – les épisodes de dépression ou d'euphorie subies dans l'enfance notamment - est décrit au bord du rêve, une colère froide remonte parfois mais contenue par la douleur et le désarroi. La confusion entre rêve et réalité, entre passé et présent déroute la lecture vers un ailleurs qui nous rapproche de cette souffrance trop humaine qu'est le deuil.
La narratrice vient de perdre sa mère, nous la suivons sur les lieux de son enfance. L'écriture se trouble, la perte fait remonter à la surface des souvenirs, et tout se mélange parfois entre ceux de la fille et ceux de la mère. Cet univers particulier – les épisodes de dépression ou d'euphorie subies dans l'enfance notamment - est décrit au bord du rêve, une colère froide remonte parfois mais contenue par la douleur et le désarroi. La confusion entre rêve et réalité, entre passé et présent déroute la lecture vers un ailleurs qui nous rapproche de cette souffrance trop humaine qu'est le deuil.