Pas de répît pour Gérard Menvussat ; le célèbre détective a beau
venir chercher le repos dans un hôtel de luxe loin de chez lui, les
affaires le rattrapent. Des cris le tirent de son mauvais sommeil ;
ciel, un assassinat ! La victime est loin d'être une inconnue : c'est
Marie Laverdure, la fille du propriétaire de l'hôtel... Marie
Laverdure, artiste dont l'ouvre pléthorique, protéiforme et
discutable, occupe chaque recoin de cet étrange établissement.
Le
palace n'accueille que trois clients, voilà une enquête qui devrait
être rondement menée ! Et pourtant, comme dans un mauvais roman de
Marie Laverdure, rien ne va se passer comme prévu. Dans son format à
l'italienne, J'ai rarement vu ça rappelle les grandes heures de la
ligne claire : Ted Benoit, Joost Swarte, transparaissent dans ces
pages. Mathieu Lefèvre concocte des dialogues et un scénario plein de
rebondissements, tandis que Jérémy Piningre n'a pas son pareil pour
donner à l'ensemble une atmosphère étrange et chargée de références
visuelles.
Pas de répît pour Gérard Menvussat ; le célèbre détective a beau
venir chercher le repos dans un hôtel de luxe loin de chez lui, les
affaires le rattrapent. Des cris le tirent de son mauvais sommeil ;
ciel, un assassinat ! La victime est loin d'être une inconnue : c'est
Marie Laverdure, la fille du propriétaire de l'hôtel... Marie
Laverdure, artiste dont l'ouvre pléthorique, protéiforme et
discutable, occupe chaque recoin de cet étrange établissement.
Le
palace n'accueille que trois clients, voilà une enquête qui devrait
être rondement menée ! Et pourtant, comme dans un mauvais roman de
Marie Laverdure, rien ne va se passer comme prévu. Dans son format à
l'italienne, J'ai rarement vu ça rappelle les grandes heures de la
ligne claire : Ted Benoit, Joost Swarte, transparaissent dans ces
pages. Mathieu Lefèvre concocte des dialogues et un scénario plein de
rebondissements, tandis que Jérémy Piningre n'a pas son pareil pour
donner à l'ensemble une atmosphère étrange et chargée de références
visuelles.