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Les plus belles histoires d'amour ne meurent jamais.
Elles continuent de vivre dans nos souvenirs et les coïncidences cruelles que notre esprit invente.
Mais quand, pour Nathy, ces coïncidences deviennent trop nombreuses, doit-elle croire qu'il n'y a pas de hasard, seulement des rendez-vous ?
Qui s'évertue à lui faire revivre cette parenthèse passionnelle qui a failli balayer sa vie ?
Quand passé et présent se répètent au point de défier toute explication rationnelle, Nathy doit-elle admettre qu'on peut remonter le temps ?
En quatre escales, Montréal, San Diego, Barcelone et Jakarta, dans un jeu de miroirs entre 1999 et 2019, J'ai dû rêver trop fort déploie une partition virtuose, mêlant passion et suspense, au plus près des cours qui battent trop fort.
Formidable suspense autour du monde
Une nouvelle fois, le talent de Michel Bussi opère. Ce maître du polar nous entraîne cette fois plutôt dans un thriller et nous fait douter comme Nathy son héroïne. A 20 ans d'intervalle, elle revit son passé: coïncidences, machination ?
Avec cette hôtesse de l'air, nous voyageons de Montréal à Jakarta en passant par San Diego et Barcelone tout en mêlant de façon troublante le passé et le présent. Jusqu'à la fin, nous sommes tenus en haleine au cœur des passions et des émotions des personnages.