Introduction pour lire et savoir : d'Aristophane à Cocteau

Par : Théodore Bérégi

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  • Nombre de pages648
  • FormatePub
  • ISBN2-307-26737-9
  • EAN9782307267379
  • Date de parution01/01/1991
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille870 Ko
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Art et poésie)

Résumé

Ce dernier livre de ma vie n'est nullement un message, mais une sorte de testament intellectuel, légué à tous ceux et toutes celles qui aiment lire des belles choses, et savoir ce qui mérite la connaissance des hommes assoiffés de culture. Depuis mon adolescence, je n'ai cessé - et jusqu'à aujourd'hui - d'étudier avec enthousiasme, parce que je désirais tout connaître, tout savoir, bien que j'eusse appris de mes grands et inoubliables maîtres de l'École normale supérieure, que la vie d'un homme n'est pas assez longue pour tout savoir ; que les possibilités de nos connaissances sont relatives et limitées par le temps, ce qui doit nous inciter à la modestie et non pas à la suffisance et à la vaniteuse fanfaronnade.
Cinq penseurs érudits et écrivains de génie m'ont donné l'inspiration et l'initiation par leur culture universelle : Pic de la Mirandole, Pierre Bayle, Voltaire, Condorcet et Diderot. Mais c'est surtout ce dernier qui m'avait ébloui, et qui fut mon compagnon de route, un exemple exceptionnel dans mes recherches, mes découvertes, mes méditations sur la nécessité des connaissances universelles, en établissant une échelle de valeur de cultures acquises, afin de servir aux communications pédagogiques des hommes.
Du reste, c'est en pénétrant dans la vie et dans la destinée de Diderot, que j'ai découvert des affinités avec son caractère et son tempérament, dont j'ai reconnu une certaine, mais lointaine filiation. C'est par la voie du dépouillement du savoir, qu'on a formé, créé la synthèse d'une culture étendue et approfondie, ce qui est devenu une des manifestations les plus vivantes et enrichissantes du progrès de la civilisation, en perpétuelle mutation, de renouvellement et de transformation.
Ce dernier livre de ma vie n'est nullement un message, mais une sorte de testament intellectuel, légué à tous ceux et toutes celles qui aiment lire des belles choses, et savoir ce qui mérite la connaissance des hommes assoiffés de culture. Depuis mon adolescence, je n'ai cessé - et jusqu'à aujourd'hui - d'étudier avec enthousiasme, parce que je désirais tout connaître, tout savoir, bien que j'eusse appris de mes grands et inoubliables maîtres de l'École normale supérieure, que la vie d'un homme n'est pas assez longue pour tout savoir ; que les possibilités de nos connaissances sont relatives et limitées par le temps, ce qui doit nous inciter à la modestie et non pas à la suffisance et à la vaniteuse fanfaronnade.
Cinq penseurs érudits et écrivains de génie m'ont donné l'inspiration et l'initiation par leur culture universelle : Pic de la Mirandole, Pierre Bayle, Voltaire, Condorcet et Diderot. Mais c'est surtout ce dernier qui m'avait ébloui, et qui fut mon compagnon de route, un exemple exceptionnel dans mes recherches, mes découvertes, mes méditations sur la nécessité des connaissances universelles, en établissant une échelle de valeur de cultures acquises, afin de servir aux communications pédagogiques des hommes.
Du reste, c'est en pénétrant dans la vie et dans la destinée de Diderot, que j'ai découvert des affinités avec son caractère et son tempérament, dont j'ai reconnu une certaine, mais lointaine filiation. C'est par la voie du dépouillement du savoir, qu'on a formé, créé la synthèse d'une culture étendue et approfondie, ce qui est devenu une des manifestations les plus vivantes et enrichissantes du progrès de la civilisation, en perpétuelle mutation, de renouvellement et de transformation.