Indicateurs d'incitation dans l'industrie textile au Mali. Réseau de Recherche sur les Politiques Industrielles en Afrique (RPI)
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- Nombre de pages71
- FormatePub
- ISBN978-2-86978-920-3
- EAN9782869789203
- Date de parution19/11/2019
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille819 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurCODESRIA
Résumé
La première question posée était de savoir si les entreprises les plus protégées ont les meilleures performances financières. La réponse ne peut qu'être nuancée au vue des résultats obtenus. En effet, même si dans le cas des textiles, on peut s'autoriser une réponse affirmative, il n'en va pas de même pour les autres activités. On trouve des activités fortement déprotégées qui présentent de bons résultats financiers (CIDT) tout comme des activités protégées avec des résultats financiers positifs.
En fait, la structure de protection et d'incitation est liée à l'orientation des ventes. Le marché intérieur est fortement protégé alors que le marché extérieur est déprotégé. Dès lors, les activités tournées vers le marché intérieur bénéficient d'une protection favorable. A l'observation des résultats, on serait tenté de dire que la structure de la protection est plutôt favorable aux activités en aval des filières car, excepté PALMINDUSTRIE et PHCI, les entreprises en amont sont déprotégées alors que celles en aval sont protégées.
En fait, il s'avère que les entreprises en amont sont principalement exportatrices alors que les autres produisent essentiellement pour le marché intérieur, il y a donc visiblement un biais favorable au marché local.
En fait, la structure de protection et d'incitation est liée à l'orientation des ventes. Le marché intérieur est fortement protégé alors que le marché extérieur est déprotégé. Dès lors, les activités tournées vers le marché intérieur bénéficient d'une protection favorable. A l'observation des résultats, on serait tenté de dire que la structure de la protection est plutôt favorable aux activités en aval des filières car, excepté PALMINDUSTRIE et PHCI, les entreprises en amont sont déprotégées alors que celles en aval sont protégées.
En fait, il s'avère que les entreprises en amont sont principalement exportatrices alors que les autres produisent essentiellement pour le marché intérieur, il y a donc visiblement un biais favorable au marché local.
La première question posée était de savoir si les entreprises les plus protégées ont les meilleures performances financières. La réponse ne peut qu'être nuancée au vue des résultats obtenus. En effet, même si dans le cas des textiles, on peut s'autoriser une réponse affirmative, il n'en va pas de même pour les autres activités. On trouve des activités fortement déprotégées qui présentent de bons résultats financiers (CIDT) tout comme des activités protégées avec des résultats financiers positifs.
En fait, la structure de protection et d'incitation est liée à l'orientation des ventes. Le marché intérieur est fortement protégé alors que le marché extérieur est déprotégé. Dès lors, les activités tournées vers le marché intérieur bénéficient d'une protection favorable. A l'observation des résultats, on serait tenté de dire que la structure de la protection est plutôt favorable aux activités en aval des filières car, excepté PALMINDUSTRIE et PHCI, les entreprises en amont sont déprotégées alors que celles en aval sont protégées.
En fait, il s'avère que les entreprises en amont sont principalement exportatrices alors que les autres produisent essentiellement pour le marché intérieur, il y a donc visiblement un biais favorable au marché local.
En fait, la structure de protection et d'incitation est liée à l'orientation des ventes. Le marché intérieur est fortement protégé alors que le marché extérieur est déprotégé. Dès lors, les activités tournées vers le marché intérieur bénéficient d'une protection favorable. A l'observation des résultats, on serait tenté de dire que la structure de la protection est plutôt favorable aux activités en aval des filières car, excepté PALMINDUSTRIE et PHCI, les entreprises en amont sont déprotégées alors que celles en aval sont protégées.
En fait, il s'avère que les entreprises en amont sont principalement exportatrices alors que les autres produisent essentiellement pour le marché intérieur, il y a donc visiblement un biais favorable au marché local.