Imposer l'ordre. La police dans les villes et les campagnes de l'Iraq abbasside (132-334/750-945)
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- Nombre de pages372
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-35159-575-6
- EAN9782351595756
- Date de parution01/04/2025
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses de l’Ifpo
Résumé
La police abbasside était sans conteste un outil indispensable à la gouvernance du territoire iraqien et de ses populations urbaines comme rurales. Cette institution joua un rôle singulier, mais peu connu, dans la mise en place d'un ordre social, politique, fiscal et moral aussi bien dans les villes que les campagnes de l'Iraq abbasside (132-334/750-945). Cet ouvrage se propose de jeter la lumière sur cette institution à partir d'un corpus édité varié et de sources manuscrites inédites.
En partant de « ceux qui font la police », cette enquête se penche sur le fonctionnement de l'institution et ses pratiques en accordant une attention particulière aux interactions entre les différents acteurs de la police et les populations. Elle permet d'éclairer, à travers le prisme sécuritaire, les rapports entre l'État prémoderne et les peuples qu'il gouverne. L'ouvrage envisage l'action de la police comme un processus en recomposition permanente et retrace l'histoire d'un « mode de légitimation de la force ».
Il étudie la manière dont l'État abbasside s'empare de la coercition physique et légitime l'usage qu'il en fait, tout en composant avec des acteurs non étatiques qui revendiquent l'exercice de missions de police.
En partant de « ceux qui font la police », cette enquête se penche sur le fonctionnement de l'institution et ses pratiques en accordant une attention particulière aux interactions entre les différents acteurs de la police et les populations. Elle permet d'éclairer, à travers le prisme sécuritaire, les rapports entre l'État prémoderne et les peuples qu'il gouverne. L'ouvrage envisage l'action de la police comme un processus en recomposition permanente et retrace l'histoire d'un « mode de légitimation de la force ».
Il étudie la manière dont l'État abbasside s'empare de la coercition physique et légitime l'usage qu'il en fait, tout en composant avec des acteurs non étatiques qui revendiquent l'exercice de missions de police.
La police abbasside était sans conteste un outil indispensable à la gouvernance du territoire iraqien et de ses populations urbaines comme rurales. Cette institution joua un rôle singulier, mais peu connu, dans la mise en place d'un ordre social, politique, fiscal et moral aussi bien dans les villes que les campagnes de l'Iraq abbasside (132-334/750-945). Cet ouvrage se propose de jeter la lumière sur cette institution à partir d'un corpus édité varié et de sources manuscrites inédites.
En partant de « ceux qui font la police », cette enquête se penche sur le fonctionnement de l'institution et ses pratiques en accordant une attention particulière aux interactions entre les différents acteurs de la police et les populations. Elle permet d'éclairer, à travers le prisme sécuritaire, les rapports entre l'État prémoderne et les peuples qu'il gouverne. L'ouvrage envisage l'action de la police comme un processus en recomposition permanente et retrace l'histoire d'un « mode de légitimation de la force ».
Il étudie la manière dont l'État abbasside s'empare de la coercition physique et légitime l'usage qu'il en fait, tout en composant avec des acteurs non étatiques qui revendiquent l'exercice de missions de police.
En partant de « ceux qui font la police », cette enquête se penche sur le fonctionnement de l'institution et ses pratiques en accordant une attention particulière aux interactions entre les différents acteurs de la police et les populations. Elle permet d'éclairer, à travers le prisme sécuritaire, les rapports entre l'État prémoderne et les peuples qu'il gouverne. L'ouvrage envisage l'action de la police comme un processus en recomposition permanente et retrace l'histoire d'un « mode de légitimation de la force ».
Il étudie la manière dont l'État abbasside s'empare de la coercition physique et légitime l'usage qu'il en fait, tout en composant avec des acteurs non étatiques qui revendiquent l'exercice de missions de police.