Docteur en Droit/Université de Berne et en Théologie/ université de Bâle en Suisse, Ange Sankieme Lusanga enseigne à l'Université Nationale Pédagogique et à l'Université CEPROMAD à Kinshasa en R. D. Congo. Membre de l'Union internationale des Avocats (UIA) de Paris, Avocat au bureau de Matete/Kinshasa, il est auteur de plusieurs ouvrages et articles.
Immigration et nationalité. Droit français helvétique et congolais (RD Congo) à la lumière du droit international
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- Nombre de pages222
- FormatPDF
- ISBN978-2-14-049863-3
- EAN9782140498633
- Date de parution24/08/2023
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille18 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierMusadila léon Matangila
Résumé
Le problème migratoire figure parmi les priorités des agendas politiques de plusieurs pays, développés surtout, à la suite de son impact sur la question de la nationalité dont les théories politiques et les pratiques peuvent conduire à l'apatridie, à la discrimination, à l'exclusion et au non-respect des droits de l'homme pour des raisons administratives, juridiques et politiques. Pour l'auteur, en lien avec l'acquisition de la nationalité, que peut-on exiger raisonnablement d'un migrant qui est un résident de longue durée ? A l'inverse, qu'est-ce que ce dernier peut attendre de son pays d'accueil avant l'octroi de la nationalité ? Faut-il ou pas reconnaître aux citoyens d'une minorité culturelle, qu'ils soient migrants de première ou de deuxième génération des droits culturels spécifiques ? Ange Sankieme Lusanga propose la création d'un cadre légal international dont les critères pour tous les États seraient la durée de résidence, la maîtrise de la langue, la double nationalité et les connaissances civiques ou culturelles pour un traitement équitable des personnes dans le respect de leur dignité, sans préjugé.
Le problème migratoire figure parmi les priorités des agendas politiques de plusieurs pays, développés surtout, à la suite de son impact sur la question de la nationalité dont les théories politiques et les pratiques peuvent conduire à l'apatridie, à la discrimination, à l'exclusion et au non-respect des droits de l'homme pour des raisons administratives, juridiques et politiques. Pour l'auteur, en lien avec l'acquisition de la nationalité, que peut-on exiger raisonnablement d'un migrant qui est un résident de longue durée ? A l'inverse, qu'est-ce que ce dernier peut attendre de son pays d'accueil avant l'octroi de la nationalité ? Faut-il ou pas reconnaître aux citoyens d'une minorité culturelle, qu'ils soient migrants de première ou de deuxième génération des droits culturels spécifiques ? Ange Sankieme Lusanga propose la création d'un cadre légal international dont les critères pour tous les États seraient la durée de résidence, la maîtrise de la langue, la double nationalité et les connaissances civiques ou culturelles pour un traitement équitable des personnes dans le respect de leur dignité, sans préjugé.