Ils sont fous ces coreens !. Dix ans chez les forcenés de l'efficacité

Par : Eric Surdej

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  • Nombre de pages176
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7021-5204-1
  • EAN9782702152041
  • Date de parution25/02/2015
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille633 Ko
  • ÉditeurCalmann-Lévy

Résumé

Éric Surdej a passé près de dix ans chez LG, l'un des leaders mondiaux de l'électronique de loisirs. Premier non-Coréen à être nommé patron d'une filiale majeure à l'étranger, en l'occurrence en France, il nous raconte ce qu'il faut faire et subir pour survivre, sinon réussir, dans une « boîte » coréenne : dix, voire douze heures de travail par jour sous l'oeil inquisitorial d'une hiérarchie obsédée de notation et de rendement, une soumission fanatique à l'entreprise, une vie privée réduite à sa plus simple expression, une tension extrême dans les rapports humains, des séminaires de motivation dignes d'une secte.Qu'allait-il donc faire dans cette galère ? C'est qu'Éric Surdej, en vingt ans de carrière dans l'électronique de loisirs, avait eu l'occasion d'admirer l'extraordinaire efficacité de ses concurrents coréens, leur souci de contrôler chaque détail lors de l'exécution d'une stratégie, leur capacité à mobiliser une énergie et une volonté presque illimitées pour parvenir à leurs fins.
Voici un livre qui va donner des éléments de comparaison à tous ceux, nombreux en France, qui se sentent exploités par leur entreprise. Il explique aussi comment les chaebols coréens ont damé le pion aux keiretsus japonais, sans parler des entreprises occidentales, et contient quelques leçons dont ces dernières pourraient s'inspirer si elles veulent survivre dans une économie mondialisée où la Corée fait figure non plus de « jeune tigre », mais d'ogre à l'appétit insatiable. 
Éric Surdej a passé près de dix ans chez LG, l'un des leaders mondiaux de l'électronique de loisirs. Premier non-Coréen à être nommé patron d'une filiale majeure à l'étranger, en l'occurrence en France, il nous raconte ce qu'il faut faire et subir pour survivre, sinon réussir, dans une « boîte » coréenne : dix, voire douze heures de travail par jour sous l'oeil inquisitorial d'une hiérarchie obsédée de notation et de rendement, une soumission fanatique à l'entreprise, une vie privée réduite à sa plus simple expression, une tension extrême dans les rapports humains, des séminaires de motivation dignes d'une secte.Qu'allait-il donc faire dans cette galère ? C'est qu'Éric Surdej, en vingt ans de carrière dans l'électronique de loisirs, avait eu l'occasion d'admirer l'extraordinaire efficacité de ses concurrents coréens, leur souci de contrôler chaque détail lors de l'exécution d'une stratégie, leur capacité à mobiliser une énergie et une volonté presque illimitées pour parvenir à leurs fins.
Voici un livre qui va donner des éléments de comparaison à tous ceux, nombreux en France, qui se sentent exploités par leur entreprise. Il explique aussi comment les chaebols coréens ont damé le pion aux keiretsus japonais, sans parler des entreprises occidentales, et contient quelques leçons dont ces dernières pourraient s'inspirer si elles veulent survivre dans une économie mondialisée où la Corée fait figure non plus de « jeune tigre », mais d'ogre à l'appétit insatiable.