Ils ont surgi de la nuit. Quand les objets des victimes des camps nazis sont restitués à leurs familles

Par : Elise Karlin
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  • Nombre de pages222
  • FormatePub
  • ISBN979-10-329-2593-5
  • EAN9791032925935
  • Date de parution07/06/2023
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurÉditions de l'Observatoire

Résumé

Comment rendre aux familles des déportés des objets confisqués il y a 80 ans par les Nazis ? "D'un coup, le voyage s'est imposé à moi. J'ai pris le train jusqu'à Dortmund et suivi le GPS de ma voiture de location jusqu'à Bad Arolsen, une petite localité sur la route de la forêt rhénane. C'est là que j'ai rencontré Nathalie Letierce-Liebig. Elle m'a raconté l'histoire des Archives Arolsen qu'elle dirige, créées après la Seconde Guerre mondiale pour retrouver les traces des millions de personnes disparues, déplacées ou forcées à travailler pour le Reich.
Destiné à durer quelques mois, cet organisme continue de répondre aux demandes des familles. Depuis quelques années, une grande partie des millions de documents sont accessibles en ligne, et Nathalie Letierce-Liebig, avec son équipe du bureau dit "d'éclaircissement des destins", s'est vu confier une nouvelle tâche : restituer les effets personnels des déportés. Une montre dont le bracelet en cuir noirci a complètement séché, une chevalière patinée, un portefeuille craquelé, les dents d'un peigne, un stylo en métal oxydé, un poudrier cabossé, une photo d'identité, un cliché de vacances aux bords dentelés.  J'ai décidé de raconter ce travail de restitution des Archives Arolsen, de partager un récit tissé avec les mots des témoins de ces passés ressuscités.
Tous, ils ouvrent contre l'oubli. Je me suis mise au travail. J'ai enquêté. Et l'aventure, très vite, a pris une autre tournure."
Comment rendre aux familles des déportés des objets confisqués il y a 80 ans par les Nazis ? "D'un coup, le voyage s'est imposé à moi. J'ai pris le train jusqu'à Dortmund et suivi le GPS de ma voiture de location jusqu'à Bad Arolsen, une petite localité sur la route de la forêt rhénane. C'est là que j'ai rencontré Nathalie Letierce-Liebig. Elle m'a raconté l'histoire des Archives Arolsen qu'elle dirige, créées après la Seconde Guerre mondiale pour retrouver les traces des millions de personnes disparues, déplacées ou forcées à travailler pour le Reich.
Destiné à durer quelques mois, cet organisme continue de répondre aux demandes des familles. Depuis quelques années, une grande partie des millions de documents sont accessibles en ligne, et Nathalie Letierce-Liebig, avec son équipe du bureau dit "d'éclaircissement des destins", s'est vu confier une nouvelle tâche : restituer les effets personnels des déportés. Une montre dont le bracelet en cuir noirci a complètement séché, une chevalière patinée, un portefeuille craquelé, les dents d'un peigne, un stylo en métal oxydé, un poudrier cabossé, une photo d'identité, un cliché de vacances aux bords dentelés.  J'ai décidé de raconter ce travail de restitution des Archives Arolsen, de partager un récit tissé avec les mots des témoins de ces passés ressuscités.
Tous, ils ouvrent contre l'oubli. Je me suis mise au travail. J'ai enquêté. Et l'aventure, très vite, a pris une autre tournure."