Il n'y a pas de deuxième classe au paradis

Par : Vincent Morch
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages160
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-7067-2850-1
  • EAN9782706728501
  • Date de parution27/03/2025
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
  • ÉditeurÉditions Salvator

Résumé

À l'heure où le catholicisme en France traverse une crise et se voit affaiblir par une profonde sécularisation, la tentation peut être grande pour ce « petit reste » de se radicaliser, au delà de l'opposition classique « progressistes/tradis ». Mais si se radicaliser peut signifier un positif « retour » aux racines évangéliques, comme le fit François d'Assise, il peut aussi à l'inverse susciter un repli sectaire, voire violent.
Dans cet essai, Vincent Morch appelle à un discernement pour refuser cette tentation. Ne faut il pas d'abord mieux percevoir ce qu'attendent nos contemporains, dans un monde où trop souvent Dieu fait peur, comme s'il allait attenter totalement à notre liberté ? Parier sur la seule radicalité ne pourra que rendre l'Église encore plus étrangère. Voilà pourquoi l'auteur entend s'adresser aux chrétiens engagés du « premier cercle » pour qu'ils se tournent plus largement vers leurs frères à la foi ordinaire.
À l'heure où le catholicisme en France traverse une crise et se voit affaiblir par une profonde sécularisation, la tentation peut être grande pour ce « petit reste » de se radicaliser, au delà de l'opposition classique « progressistes/tradis ». Mais si se radicaliser peut signifier un positif « retour » aux racines évangéliques, comme le fit François d'Assise, il peut aussi à l'inverse susciter un repli sectaire, voire violent.
Dans cet essai, Vincent Morch appelle à un discernement pour refuser cette tentation. Ne faut il pas d'abord mieux percevoir ce qu'attendent nos contemporains, dans un monde où trop souvent Dieu fait peur, comme s'il allait attenter totalement à notre liberté ? Parier sur la seule radicalité ne pourra que rendre l'Église encore plus étrangère. Voilà pourquoi l'auteur entend s'adresser aux chrétiens engagés du « premier cercle » pour qu'ils se tournent plus largement vers leurs frères à la foi ordinaire.