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Il faut beaucoup aimer les hommes

Par : Marie Darrieussecq
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  • Nombre de pages321
  • FormatePub
  • ISBN978-2-8180-1925-2
  • EAN9782818019252
  • Date de parution22/08/2013
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille307 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurPOL Editeur

Résumé

Une femme rencontre un homme. Coup de foudre. Il se trouve que l'homme est noir. « C'est quoi, un Noir ? Et d'abord, c'est de quelle couleur ? » La question que pose Jean Genet dans Les Nègres, cette femme va y être confrontée comme par surprise. Et c'est quoi, l'Afrique ? Elle essaie de se renseigner. Elle lit, elle pose des questions. C'est la Solange du précédent roman de Marie Darrieussecq, Clèves, elle a fait du chemin depuis son village natal, dans sa « tribu » à elle, où tout le monde était blanc.
L'homme qu'elle aime est habité par une grande idée : il veut tourner un film adapté d'Au cour des ténèbres de Conrad, sur place, au Congo. Solange va le suivre dans cette aventure, jusqu'au bout du monde : à la frontière du Cameroun et de la Guinée Équatoriale, au bord du fleuve Ntem, dans une sorte de « je ntem moi non plus ». Tous les romans de Marie Darrieussecq travaillent les stéréotypes : ce qu'on attend d'une femme, par exemple ou les phrases toutes faites autour du deuil, de la maternité, de la virginité...
Dans Il faut beaucoup aimer les hommes cet homme noir et cette femme blanche se débattent dans l'avalanche de clichés qui entoure les couples qu'on dit « mixtes ». Le roman se passe aussi dans les milieux du cinéma, et sur les lieux d'un tournage chaotique, peut-être parce qu'on demande à un homme noir de jouer un certain rôle : d'être noir. Et on demande à une femme de se comporter de telle ou telle façon : d'être une femme.
Une femme rencontre un homme. Coup de foudre. Il se trouve que l'homme est noir. « C'est quoi, un Noir ? Et d'abord, c'est de quelle couleur ? » La question que pose Jean Genet dans Les Nègres, cette femme va y être confrontée comme par surprise. Et c'est quoi, l'Afrique ? Elle essaie de se renseigner. Elle lit, elle pose des questions. C'est la Solange du précédent roman de Marie Darrieussecq, Clèves, elle a fait du chemin depuis son village natal, dans sa « tribu » à elle, où tout le monde était blanc.
L'homme qu'elle aime est habité par une grande idée : il veut tourner un film adapté d'Au cour des ténèbres de Conrad, sur place, au Congo. Solange va le suivre dans cette aventure, jusqu'au bout du monde : à la frontière du Cameroun et de la Guinée Équatoriale, au bord du fleuve Ntem, dans une sorte de « je ntem moi non plus ». Tous les romans de Marie Darrieussecq travaillent les stéréotypes : ce qu'on attend d'une femme, par exemple ou les phrases toutes faites autour du deuil, de la maternité, de la virginité...
Dans Il faut beaucoup aimer les hommes cet homme noir et cette femme blanche se débattent dans l'avalanche de clichés qui entoure les couples qu'on dit « mixtes ». Le roman se passe aussi dans les milieux du cinéma, et sur les lieux d'un tournage chaotique, peut-être parce qu'on demande à un homme noir de jouer un certain rôle : d'être noir. Et on demande à une femme de se comporter de telle ou telle façon : d'être une femme.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.4/5
sur 10 notes dont 4 avis lecteurs
Sports basques
La plus banale histoire d'amour, couple mixte, entre ombre (Afrique) et lumière (Hollywood). Toc, illusion, amour impossible ? Il reste le style pour le dire : les phrases, ternaires, se contractent, entre haïku et tweet. Geste golfique : backswing, swing, approche parfaite. Ou gestes rudes du bucheron (ici, "aïzkolarri") : élan, cognée, entaille précise. C'est fin, c'est net. Il faut, aussi, beaucoup aimer l'écriture de Marie D.
La plus banale histoire d'amour, couple mixte, entre ombre (Afrique) et lumière (Hollywood). Toc, illusion, amour impossible ? Il reste le style pour le dire : les phrases, ternaires, se contractent, entre haïku et tweet. Geste golfique : backswing, swing, approche parfaite. Ou gestes rudes du bucheron (ici, "aïzkolarri") : élan, cognée, entaille précise. C'est fin, c'est net. Il faut, aussi, beaucoup aimer l'écriture de Marie D.
  • Ironique
décéption
On aurait pu attendre mieux de Marie Darrieussecq qui avait écrit un livre très intéressant "truismes", en l’occurrence, et d'autres tout aussi beaux. On a l'impression ici que, vidée d'inspiration, l'auteur se répète. Ou alors voulait elle absolument un prix littéraire...
On aurait pu attendre mieux de Marie Darrieussecq qui avait écrit un livre très intéressant "truismes", en l’occurrence, et d'autres tout aussi beaux. On a l'impression ici que, vidée d'inspiration, l'auteur se répète. Ou alors voulait elle absolument un prix littéraire...
Bof!
Le titre était prometteur... mais pour moi cela s'arrête la! Déçu par cet ouvrage que j'ai fini mais j'ai eu beaucoup de mal. Je ne suis jamais rentré dans l'histoire qui met du temps à démarrer et qui est ensuite très fouillie, désordonnée. J'ai trouvé le livre long et peu intéressant. A oublier pour moi.
Le titre était prometteur... mais pour moi cela s'arrête la! Déçu par cet ouvrage que j'ai fini mais j'ai eu beaucoup de mal. Je ne suis jamais rentré dans l'histoire qui met du temps à démarrer et qui est ensuite très fouillie, désordonnée. J'ai trouvé le livre long et peu intéressant. A oublier pour moi.
Marie Darrieussecq
Née le 3 janvier 1969 à Bayonne, Marie Darrieussecq est l'auteur d'une dizaine de romans et de deux pièces de théâtre. Enseignante, psychanalyste, elle est également une femme engagée, soutien de Ségolène Royal lors de la campagne présidentielle de 2007 et marraine de l'ONG Bibliothèques sans Frontières. Alors qu'elle termine sa thèse de doctorat « L'autofiction, un genre pas sérieux », son premier livre, « Truismes » rédigé en six semaines selon ses dires, est publié en 1996 chez POL. Il remporte immédiatement un grand succès en France et à l'étranger et sera suivi de plusieurs autres ouvrages parmi lesquels « Naissance des fantômes » (1998), « Bref séjour chez les vivants » (2001), « Le bébé » (2003), « Tom est mort » (2007). Accusée de plagiat par l'auteur Camille Laurens lors de la parution de ce dernier texte qui a pour thème la douleur effrayante ressentie lors de la perte d'un enfant, elle s'inspire de cette expérience et publie en 2009 un essai sur les différends littéraires, « Rapport de police ; accusations de plagiat et autres modes de surveillance de la fiction ». En 2011, elle revient à la fiction avec «Clèves».
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