Hume et la régulation morale
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- Nombre de pages136
- FormatePub
- ISBN2-13-068400-9
- EAN9782130684008
- Date de parution31/12/1998
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille29 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPresses universitaires de France...
Résumé
Hume a fait de l'expérience la seule base pour une science de la nature humaine. Au sein d'une telle science, la morale ne se réduit pas à la question de la distinction du vice et la vertu. En prenant appui sur l'ensemble des ouvres de Hume (Le traité, Les enquêtes, Les essais, L'histoire), le présent ouvrage l'aborde, en articulant à la fois les passions humaines, les estimations morales, le droits, l'histoire, les obligations, le langage, les motifs des hommes et leurs caractères.
La morale est, en effet, l'ouvre d'une régulation spontanée plutôt que d'une normativité préconçue ou importée d'autres juridiques - système artificiel de règles de droit, issu de l'inventivité des intérêts partiaux - et l'agencement éthique - point de la correction des estimations partiales. Faire place à cette double genèse d'obligations suppose, en même temps, de démystifier les instances pourvoyeuses de devoirs moraux, notamment la religion et les idéologies politiques partisanes.
Une fois libéré le champ d'un échanges social réglé, s'ouvre la possibilité d'une réforme publique et privée, où la tension vers la vertu relève, pour les individus, du raffinement et de l'ajustement, plutôt que de l'imposition violente ou du perfectionnement indéfini.
La morale est, en effet, l'ouvre d'une régulation spontanée plutôt que d'une normativité préconçue ou importée d'autres juridiques - système artificiel de règles de droit, issu de l'inventivité des intérêts partiaux - et l'agencement éthique - point de la correction des estimations partiales. Faire place à cette double genèse d'obligations suppose, en même temps, de démystifier les instances pourvoyeuses de devoirs moraux, notamment la religion et les idéologies politiques partisanes.
Une fois libéré le champ d'un échanges social réglé, s'ouvre la possibilité d'une réforme publique et privée, où la tension vers la vertu relève, pour les individus, du raffinement et de l'ajustement, plutôt que de l'imposition violente ou du perfectionnement indéfini.
Hume a fait de l'expérience la seule base pour une science de la nature humaine. Au sein d'une telle science, la morale ne se réduit pas à la question de la distinction du vice et la vertu. En prenant appui sur l'ensemble des ouvres de Hume (Le traité, Les enquêtes, Les essais, L'histoire), le présent ouvrage l'aborde, en articulant à la fois les passions humaines, les estimations morales, le droits, l'histoire, les obligations, le langage, les motifs des hommes et leurs caractères.
La morale est, en effet, l'ouvre d'une régulation spontanée plutôt que d'une normativité préconçue ou importée d'autres juridiques - système artificiel de règles de droit, issu de l'inventivité des intérêts partiaux - et l'agencement éthique - point de la correction des estimations partiales. Faire place à cette double genèse d'obligations suppose, en même temps, de démystifier les instances pourvoyeuses de devoirs moraux, notamment la religion et les idéologies politiques partisanes.
Une fois libéré le champ d'un échanges social réglé, s'ouvre la possibilité d'une réforme publique et privée, où la tension vers la vertu relève, pour les individus, du raffinement et de l'ajustement, plutôt que de l'imposition violente ou du perfectionnement indéfini.
La morale est, en effet, l'ouvre d'une régulation spontanée plutôt que d'une normativité préconçue ou importée d'autres juridiques - système artificiel de règles de droit, issu de l'inventivité des intérêts partiaux - et l'agencement éthique - point de la correction des estimations partiales. Faire place à cette double genèse d'obligations suppose, en même temps, de démystifier les instances pourvoyeuses de devoirs moraux, notamment la religion et les idéologies politiques partisanes.
Une fois libéré le champ d'un échanges social réglé, s'ouvre la possibilité d'une réforme publique et privée, où la tension vers la vertu relève, pour les individus, du raffinement et de l'ajustement, plutôt que de l'imposition violente ou du perfectionnement indéfini.